Bradycardie

vasoconstriction, baisse de la tension artérielle, respiration rapide, pouls rapide (tachycardie) ; * T° < 32 °C : troubles de conscience, pupilles contractées (myosis), ralentissement du cœur (bradycardie) ; * T° < 30 °C : coma, pupilles dilatées (mydriase), respiration lente (bradypnée), bradycardie(rythme cardiaque trop bas), hypotension, « état de mort apparente » ; En dessous de 28 °C il y a un risque d'arrêt cardiaque par fibrillation ventriculaire(La fibrillation ventriculaire est un

Le sexe. : Femme ATCD : diabète type2 Le motif de recours aux urgences : BAV avec les signes de l’hyperkaliémie (trouble du rythme cardiaque : bradycardie de l’onde P (soit due à l’hyperkaliémie IR ou bien une cardiopathie, hyperthyroïdie Les bilans biologiques : ionogramme déceler une hyperkaliémie du 8mmol/litre ECG montre Bradycardie sinusal Ondes P aplaties presque invisible Ralentissement de la conduction atrioventriculaire Intervalle PR prolongé supérieur à 5 mm / à 200ms

La fréquence : C’est le nbre de pulsation par minute Anomalies : Tachycardie = accélération du pouls chez une personne au repos > 100/mn Bradycardie = Ralentissement du pouls chez personne au repos. Le rythme Régularité entre chaque battement Anomalies : Arythmie = pulsation irrégulières de force inégale Bradycardie = ryhme lent Tachycardie = rythme rapide Amplitude C’est la puissance du battement qui témoigne de la bonne perméabilité de l’artère et d’un volume

date et heure de l’injection, vitesse d’administration. Elle programme la pompe à 175ml/h.Nous installons un scope car l’injection de lidocaïne, nécessite une surveillance rapprochée pendant l’injection et 1 heure après également lié au risque de bradycardie, hypotension artérielle. Nous reviendrons vérifier les constantes de la patiente et vérifier l’absence d’extravasation de la perfusion (passage du liquide en dehors de la veine)Nous remercions la patiente et lui donnons les conseils de bonne pratique

75mgPO0-0-1-0Anti-agrégant plaquettairePrévention des complications cardiovasculaires et cérébrovasculaires liées à l’athéroscléroseHémorragies, thrombopénie, hématomesSurveillance des signes hémorragiques (pâleur, sueurs, hypoTA, malaise, tachy- puis bradycardie)Surveillance du taux de plaquettes sous PMTahor 40mgPO 0-0-1-0AtorvastatineHypolipémiantTraitement préventif des maladies cardiovasculairesCéphaléesDouleurs musculaires / crampesTroubles digestifsSurveillance douleurSurveillance sellesSurveillance

photosensibilité et hypothyroïdie ont été notés. Enfin, des hypothyroïdies biologiques néonatales sont décrites dans 20 à 60 % des cas, justifiant un traitement hormonal de quelques mois. Le lendemain au terme de 29+1SA, une bradycardie fœtale sur choc cardiogénique conduit à la naissance prématuré d’Horia par césarienne en urgence.Une seule dose de corticoïdes a pu être administrée. La corticothérapie prénatale est recommandée chez les femmes présentant une menace d’accouchement

l’alimentation est ensuite passé en discontinue c’est-à-dire que la totalité de la seringue est passée en 2h sur3. Le 12/06, celle-ci est passée en discontinue 1h/3. Elle était bien tolérée avec peu de résidus gastriques. Cependant suite à des épisodes de bradycardie/désaturation, le pédiatre a choisit de remettre l’alimentation en discontinue 2h/3 le 17/06 afin de voir si le « gavage » trop rapide n’était pas à l’origine de ces épisodes. Il s’est avéré que la fréquence de ces brady/désat a diminué mais reste

glucagon) - surveiller un éventuel « rebond » des sécrétions digestives en cas d’arrêt brusque Effets secondaires - souvent en rapport avec une perfusion trop rapide : nausées, inconfort digestif, troubles tensionnels avec hypotension, bradycardie La SOMATOSTATINE DEFINITION La somatostatine une hormone sécrétée principalement dans le tube digestif au niveau des cellules endocrines (hormonales) appartenant au duodénum et au pancréas. Elle est également présente dans le système nerveux

habituellement recommandés si insuffisant). Alternative : Sérum salé hypertonique 3% 5 à 10 mL/kg IVL / 30 min. COMPLICATIONS : Les complications redoutables à surveiller sont : 1. L’œdème cérébral : signes d’HTIC (céphalées, troubles de conscience, bradycardie, HTA, désaturation, nausées-vomissements). Il survient en général après un intervalle libre de 4 à 12 h après instauration du traitement. L’œdème cérébral est plus fréquent chez l’enfant jeune, si les symptômes ont duré longtemps, et en cas de découverte

agonistes purs qui inhibent les récepteurs opioïdes. Effets indésirables : morphine : constipation, nausées, vomissements, dépression respi, somnolence, vertiges, état confusionnel, hypotension orthostatique, bradycardie, rétention U. ; nalbuphine : nausées, vomissements, somnolence, vertiges, sueurs, céphalées. ; buprénorphine : hépatite aigue avec cytolyse et détresse respi. Contre-indications : morphine :