Catholicisme

Guerre de religion : Elles opposent les protestants aux catholiques. Les premières persécutions commencent en 1520. À la fin du règne d'Henri II, le conflit se politise.  Affaire des placards : Luther dénonce le catholicisme en placardant 95 thèses sur le mauvais fonctionnement du catholicisme sur les portes du château de Wittenberg (saxe) Le massacre de la Saint Barthélémy :est le massacre de protestants à Paris, le 24 août 1572, jour de la Saint-Barthélemy. Ce massacre s'est prolongé pendant plusieurs

pension chez des pasteurs protestants, d’abord chez son oncle puis chez le pasteur Lambercier. En 1728, il quitte Genève pour Annecy, chez Mme de Warens récemment convertie au catholicisme qu’il voit comme une seconde mère (« maman ») mais qui deviendra plus tard sa maîtresse. C’est en 1728 qu’il se convertit lui-même au catholicisme. Il part pour Paris en 1942 pour y présenter un nouveau système de notation musicale. C’est à cette période qu’il noue des relations avec Diderot, voltaire … et avec Thérèse

évènements et la conversion d’Henri de Navarre au catholicisme finissent par les séparer. En 1577, il est grièvement blessé à Casteljaloux. Il semblerait que ce soit à ce moment-là qu’il aurait écrit les premières « clauses » des Tragiques. Il se retire dans le Blaisois et se marie en 1583 avec Suzanne de Lezay dont il eut un fils Constant, père de la future Marquise de Maintenon et deux filles. Il déshérita Constant parce qu’il s’était converti au catholicisme, le condamnant lui et sa famille à la misère

installé depuis 1722 comme marchand lingier rue des Filatiers à Toulouse. Le couple aura quatre fils (Marc-Antoine, Pierre, Louis et Donat) et deux filles, Anne et Anne-Rose. 7 novembre 1732 : Baptême de Marc-Antoine Calas. 1756 : Conversion au catholicisme de Louis, peut-être due à l'influence de la servante très pieuse Jeanne Viguière. 18 mai 1759 : Marc-Antoine Calas, reçu bachelier en droit, ne peut obtenir des autorités ecclésiastiques le certificat nécessaire à la soutenance des actes de licence

Le cas particulier de l'Alsace-Moselle : Un concordat est un traité organisant les rapports entre les différentes religions et l’État. Il fut signé en 1801 par le frère de Bonaparte et un abbé ou le pape ! Le concordat reconnaît que le catholicisme est la religion prépondérante en France et les autres religions sont minoritaires. Ce texte dit que les archevêques et évêques seront nommés par le gouvernement mais ils reçoivent l'institution canonique du pape. Ce concordat est en vigueur de 1801

commandements de l'Église et, faute de satisfaire les nombreuses conditions, on s'excluait de l'Église. Tout était clair et la frontière entre les catholiques et les autres était évidente, à tel point que la question ne se posait même pas. Désormais, le catholicisme a cessé de représenter la même chose pour tous. Il devient de plus en plus délicat d'apporter une réponse satisfaisante à la question de l'identité catholique. La définition même de catholique pose problème: le critère de la pratique régulière

française mais également par des réformes importantes concernant le droit des personnes, et cet édit de tolérance de 1787 en est l'exemple puisqu'il permit aux personnes non catholiques de bénéficier de l'état civil sans devoir se convertir au catholicisme. Dans quelle mesure l'édit de tolérance de Novembre 1787 signé par Louis XVI constitue-t-il une étape importante dans la pacification religieuse du pays? Nous verrons dans un premier temps que cet édit de Versailles accorde aux non catholiques

militaires, la « Religion Prétendue Réformée » (R.P.R., telle était la dénomination utilisée par les catholiques de l’époque) vécut pendant une trentaine d’années sans trop de secousses, si ce n’est la perte discrète de ses privilèges et le retour au catholicisme d’une grande partie de la noblesse, mais une lutte juridique constante lui permit de ne pas perdre trop d’avantages. Le cardinal de Richelieu, premier ministre de 1624 à 1642, fit assez bien respecter l’édit de Nantes pour des raisons de politique

t’aiderai plus que de raison. » En revanche de ceci, il vend son âme au diable. Le personnage du Diable ou Satan, comme il est aussi nommer, est la représentation stéréotypée du diable. Il s’agit d’une représentation pur de tous ce qui va contre le catholicisme. Ceci pose un binaire classique dans le théâtre médiéval. Il dit au Salatin que si Théophile invoque Jésus, le fils de Sainte Marie, qu’il lui refusera tout aide, mais si il l’abandonne, qu’il donnera à Théophile de la puissance, pour qu’il soit

Composition d’histoire. Être chrétien au Moyen-Âge. En occident suite à la division entre les catholiques et les orthodoxes en 1054, les sociétés européennes en grande partie ont fait de leur religion le catholicisme. Le Moyen-Âge est une période très longue où les catholiques vont avoir un impact important sur l’histoire. Alors qu’est-ce qu’être chrétien au Moyen-Âge ? Tout d’abord nous verrons qu’être chrétien c’est croire et pratiquer, que c’est aussi appartenir à une institution : l’Eglise