Classe ouvrière

comportements sociaux d’un gpe bien déterminé, le groupe « central » de la classe ouvrière. Une « génération » : ensemble d’individus ayant vécu les mêmes expériences fondatrices et connu les mêmes formes initiales de socialisation. Ces conditions ne sont pas réunies pour la génération d’entre-deux guerre : *la stabilisation des bastions industriels se poursuit de 1930 jusqu’à fin 1950 *la « deuxième génération ouvrière » est la duplication du groupe initial d’ouvriers *elle est marquée par

Dissertation d'SES : La classe ouvrière C'est au moment de la révolution industrielle qu'est apparu la notion de classe ouvrière. A cette époque, la classe ouvrière a pris une forte importance dans la société. Elle est constituée de personnes avec ou sans qualification qui font un travail manuel, avec un sentiment d'appartenance au même groupe, celle-ci comporte aussi une culture qui est différente des autres classes sociales. Depuis la période des Trente Glorieuses, la situation économique et

naissance d'une conscience de classe et d'une identité sociale. Le syndicalisme qui se développe autant en Allemagne qu'en France traduit concrètement cette volonté d'affirmation des classes ouvrières, mais s'exprime de manière différente selon les pays. Ce devoir décrit le développement du syndicalisme en France et en Allemagne. I. La naissance du mouvement ouvrier A. Grèves, journée du travail et organisations prolétariennes à la base de l'identité ouvrière B. Les influences idéologiques

Visibles, invisibles. Père où es-tu ? Il en est des pères comme de la classe ouvrière, invisibles, voire muets, ils n’en demeurent pas moins les réels des complexes familiaux et des rapports sociaux. Souvent détruits, marginalisés, exploités, épuisés, en perte d’identités, ils continuent à produire les valeurs d’usages, d’échange, les valeurs morales. On ne les voit pas, on ne les entend guère dans l’orgie médiatique. Ils sont là debout, ils veillent, sentinelles de la nuit. L’attaque a

donner une définition univoque et définitive de la classe ouvrière. Il faut, au contraire, souligner la diversité de ce groupe. Borné, le sujet invite à une approche chronologique. On peut en effet distinguer des grandes phases du processus de formation de la classe ouvrière au sein de la société française. A partir de 1975, la progressive désindustrialisation des vieux bassins d’emplois, couplée avec un éclatement de la classe ouvrière, semble clore un mouvement ascendant et inaugure l’ère

ainsi un salaire qui, pour l'essentiel, est consacré à l'alimentation. II) 1880-1930 : les luttes et les cultures ouvrières La culture ouvrière. Le nombre d'ouvriers augmente : il dépasse 5 millions en 1912. Cette nouvelle population se fixe dans les périphéries des villes. Une culture ouvrière se forme, celle des quartiers populaires. Plusieurs journaux soutiennent la « classe ouvrière », comme l'Humanité. De nombreuses luttes. Le travail est de plus en plus fragmenté. Les premières chaînes apparaissent

fabriques. Mais la violence a ses limites. Elle peut forcer l’obéissance mais ne parvient jamais à la faire accepter. Elle ne suffit donc pas pour moraliser la classe ouvrière. L’enjeu est alors d’endoctriner la classe ouvrière avec les valeurs capitalistes. Il s’agit de légitimer le rapport salarial, et par là de faire obéir la classe ouvrière. Le rôle du paternalisme est de répondre aux problèmes rencontrés en prenant en charge l’ouvrier. Le paternalisme est défini comme le caractère familial des

LA CONDITION OUVRIERE AU XIX ème siècle dans GERMINAL de Zola Au XIX ème siècle, les ouvriers sont très mal payés, les conditions de travail sont très dures, certains gémissent sous le poids de l'exploitation sans cesse accrue : privés d'argent, affamés, ils manquent de logements, et vivent dans une horrible promiscuité. Corruption et vices règnent, et l'existence de ces malheureux, auxquels une étincelle pourrait rendre leur dignité d'hommes, se passe entre l'alcool et les femmes. Telle est

Lutte Ouvrière Ces dernières années, le discours dominant, celui des médias et de nombreux intellectuels, tend à faire croire que la classe ouvrière n’existerait plus, que l’opposition entre le prolétariat et la bourgeoisie n’aurait plus de sens. Dans un pays comme la France, la classe ouvrière est formée de plusieurs dizaines de millions de travailleurs et aujourd’hui, elle est même plus importante qu’au 19ème siècle. Il y a toujours des ouvriers dans l’industrie, dans le bâtiment, dans l’entretien

JEAN Amélie HK/BL Histoire, Armand Colin deuxième Edition 2007 LE MONDE DU TRAVAIL 1800-1950 Alain DEWERPE SOMMAIRE : Les trois sources de la classe ouvrière du début du XIXe aux années 1880 La question sociale Usines et prolétaires des années 1880 à la veille de la Première Guerre mondiale Rationalisation de la Première Guerre mondiale aux années 1950 Introduction : Depuis la fin du XVIIIe s., la genèse et les mutations de la force de travail industrielle apparaissent