Hérodote

d’un comptoir qui reçoit des populations grecques, essentiellement des Milésiens. Des échanges se font dans le delta du Nil. En revanche, Cyrène est une cité de type apoikia, colonie de peuplement. La fondation de Cyrène est très bien documentée par Hérodote. Les habitants de Théra ont fondé Cyrène. Les Théréens sont des populations du Santorin. La sécheresse qui frappe le Santorin pousse les Théréens à partir, avec l’aide de navigateurs crétois. Une seconde expédition fut ensuite menée par Battos, fondateur

1er : roi des Perses de 485 à 465 ; fils de Darius et d’Atossa (fille du grand Cyrus) Le décès de Darius I entraîne d'importantes révoltes à Babylone et son successeur, son fils Xerxès I doit s'en occuper en priorité. Xerxès nous est connu par Hérodote comme un monarque ami du faste, renommé pour son goût des femmes, ce qui sera corroboré par le livre d'Esther, dans lequel le roi perse Assuérus semble correspondre à Xerxès I. 2ème guerre médique : sous la pression de ses généraux, Xerxès va reprendre

Les auteurs antiques source de l’Histoire Hérodote Né vers 484 avant JC à Halicarnasse (Asie mineure) mort en 425 avant JC à Thourioi. Hérodote a été surnommé le « père de l'Histoire » par Cicéron (les Lois, I, 1). Il est membre d'une famille importante bien que le nom de son père indique qu'il était probablement d'origine « barbare », plus précisément carienne, la Carie étant au contact d'Halicarnasse. Dans sa jeunesse, en 469, il suit sa famille, adversaire du tyran Lygdamis II (v. 470/v

(412–485) conclut la polémique dans sa Vie d'Homère, en disant que celui-ci fut avant tout un « citoyen du monde ». En fait, nous ne savons rien sur la vie d'Homère. Huit biographies anciennes nous sont parvenues, faussement attribuées à Plutarque et Hérodote : elles s'expliquent probablement par l'« horreur du vide » des biographes grecs17. Elles datent pour les plus vieilles de l'époque hellénistique et regorgent de détails aussi précis que fantaisistes, dont certains remontent à l'époque classique

politique vise aussi à maintenir les perses hors d’Athènes : c’est l’impérialisme athénien. 2) Périclès : artisan de la splendeur culturelle athénienne Périclès, toujours entouré d’artistes et d’intellectuels : le philosophes Protagoras, l’historien Hérodote, l’architecte Phidias, l’auteur Sophocle, mais aussi Pythagore, Zénon,....., entreprend de reconstruire la cité d’Athènes laissée en ruine par les différentes guerres barbares. Il aime les belles choses simples. Il lance donc un programme de grands

guerres médiques et leurs conséquences Lectures obligatoires Manuel : M. C. Amouretti et F. Ruzé, Le monde grec antique, chap. 9 paragraphe II « les guerres médiques et l’affirmation de la puissance athénienne », p. 141-150. Source antique : Hérodote, VIII, 40-99 la bataille de Salamine. Sujet travaillé en TD : Athènes à la fin des guerres médiques. Préparation à la maison : Analyse du sujet et plan détaillé. TD 3 Impérialisme et démocratie à Athènes au Ve siècle Lectures obligatoires :

du tyran de Sicyone, Clisthène, et la nièce du réformateur athénien également appelé Clisthène, un autre AlcméonideNote 2,13. Son frère aîné, Ariphron, nommé comme le père de Xanthippe, n'a pas laissé de traces d'activités politiques11. D'après Hérodote et Plutarque, Agaristè avait rêvé, quelques nuits avant la naissance de Périclès, qu'elle portait un lion10,14,12. Une interprétation de cette anecdote considère le lion comme symbole traditionnel de grandeur, mais l'histoire peut aussi faire allusion

(412–485) conclut la polémique dans sa Vie d'Homère, en disant que celui-ci fut avant tout un « citoyen du monde ». En fait, nous ne savons rien sur la vie d'Homère. Huit biographies anciennes nous sont parvenues, faussement attribuées à Plutarque et Hérodote : elles s'expliquent probablement par l'« horreur du vide » des biographes grecs18. Elles datent pour les plus vieilles de l'époque hellénistique et regorgent de détails aussi précis que fantaisistes, dont certains remontent à l'époque classique

perse, mag signifie « science, sagesse ». Héraclite (vers 500 av. J.-C.) est le premier à utiliser le mot, en énumérant « les somnambules, les mages (μάγοι), les bacchants [initiés à Dionysos], les ménades [initiées à Dionysos], et les initiés »[5]. Hérodote, vers 420 av. J.-C., précise le sens : « Les tribus mèdes sont : les Bouses, les Parétacènes, les Strouchates, les Arizantes, les Boudiens, les Mages (μάγοι) »[6]. En fait, les Mages forment la caste sacerdotale des Mèdes[7], comme les Brahmanes

Chacune de ces civilisations est définie par sa relation à l’Esprit. Chaque civilisation subit un choc dialectique avec son successeur. Hegel distingue plusieurs types d’historiens, plusieurs rapports à l’histoire : L’histoire pure : Thucydide et Hérodote, par exemple, ont collecté des évènements de leur époque, sans aucune perspective historique. Ce rapport de l’histoire a peu de valeur, car non seulement il est étroit et plein de préjugés, mais il n’offre aucune notion de l’objectif ultime de l’histoire