Khieu Samphân

raison de la lente émergence de ce tribunal international, seulement une poignée d’anciens Khmers rouges peuvent être traduits en justice pour les crimes commis entre 1975 et 1979 (tels que « Khieu Samphan (chef de l’État), Nuon Chea (l’homme le plus puissant après Pol Pot), Ieng Sary (vice-premier ministre), Khieu Thirith (épouse de Ieng Sary, ministre et membre du comité central), Thiounn Mumm (ministre) et Keat Chhon (ministre). »)14 puisque plusieurs moururent entre temps (tels que « Pol Pot, Son

L’organisation des khmères rouge fut créée durant la guerre du Viêt Nam, après la seconde guerre mondial, et vécus d’environ 1951 à 1998. Ses principaux dirigeants étaient nommés Pol Pot, Khieu Samphân, Son Sen, et furent formés à Paris dans les années 1950 dans une atmosphère où tout les gens de différente nationalité pouvaient exprimer leurs idées. Après avoir essayer de créer un mouvement dont l’utilité est d’évaluer les conditions de vie, en revenant au Cambodge, ils créèrent un parti communiste

passage au S-21. Emprisonné en 1999, Kaing Guek Eav a été transféré en 2007 au centre de detention du tribunal parrainné par l'ONU. Accusé de "crimes contre l'humanité", de "crimes de guerre" et de "violation du code pénal cambodgien ". KHIEU SAMPHAN - 77 ans Il est l'ancien chef de l'Etat du "Kampuchéa démocratique" (le nom khmer pour le Cambodge) de 1976 à 1979. C'est l'intellectuel du mouvement des Khmers rouges, l'un des théoriciens et des fondateurs de l'Angkar, l'organisation suprême

name given to the followers of the Communist Party of Kampuchea, the totalitarian ruling party in Cambodia from 1975 to 1979. This organization was created in 1954 taking model on the PCF (the French communist party). Its main leaders (Pol Pot, Khieu Samphân, Son Sen, ...) where formed in Paris in the 1950s in the “cercle des etudes marxistes” founded by the Party executives of the PCF in 1930. After 1960, the Khmer Rouge developed its own political ideas. For example, contrary to most Marxist

Présentation : C’est un témoignage d’une jeune femme Navy Soth (Shrey Mav Soth) née en 1973, qui parcourt le monde depuis 30 ans. Elle a débuté sa vie au milieu de l'enfer, a perdu des êtres chers et est arrivée en France au début des années 80. Elle a laissé son passé derrière elle et maintenant elle est maman d'une petite fille appelée Alexandra. Grâce à un ami, elle a rencontré Sophie Ansel qui est journaliste spécialiste de l’Asie et des populations réfugiées. Navy Soth a donc acceptée

victimes des exécutions et des tortures pratiquées dans ce lieu), est en cours depuis le 30 mars 2009. Devait suivre le procès de Nuon Chea (de son vrai nom Long Bunruot), le numéro deux du régime, considéré comme le plus violent, puis ceux de Khieu Samphan (ex président du Kampuchéa démocratique) et de Ien Sary (ex ministre des affaires étrangères) et de sa femme. Le fonctionnement du TKR est émaillé d’incidents. Le premier procureur international, le canadien Robert Petit

supposedly coined for him by the Chinese leadership. A new government was formed, at first with Khieu Samphan as prime minister and leader of the nation, but since holding an inferior position in the party, Khieu Samphan was obliged to hand Pol Pot the post, confirming him as prime minister and head of government on May 13, consolidating his power and making him de facto dictator of Cambodia. Khieu Samphan was instead made head of state after the abdication of Norodom Sihanouk in January 1976, as the

40 ans de prison a 64 ans et les quatre autres, âgés (entre 78 et 84 ans) et maladesle numéro 2 du régime des Khmers rouges (responsable d’au moins 1,7 million de mort entre 1975-1979) et ex-bras droit de Pol Pot, Nuon Chea ; le chef de l’Etat, Khieu Samphan ; le vice-Premier ministre chargé des Affaires étrangères, Ieng Sary, et son épouse, la ministre des Affaires sociales, Ieng Thirith ​Se pose aussi la question de savoir comment juger les peines, et qui juger, quelles sont les limites des délits

actuel ambassadeur de France. La Cambodge d’aujourd’hui a encore nombre de problème de stabilité. En 2007, l’ONU a créé un tribunal spécial à Phnom Penh pour le procès des Khmers Rouges. L’ONU n’a pas reconnu le jugement de Pol pot en 1979. Khieu Samphan a d’ailleurs été arrêté en 2007. Ce tribunal est le premier en son genre, puisqu’il est destiné à disparaître après la fin de son mandat. Il est constitué de juges cambodgiens et internationaux. Au début de l’année, le 7 janvier, une grande

possibles pour qu’il ait lieu, alors qu’en face, on n’y tient pas. Je lisais l’autre jour dans Libération une déclaration d’un type qui est anti-Khmers rouges, qui a vécu aux États-Unis. Et le journaliste lui dit : « Vous devez être content : Monsieur Khieu Samphan, dans sa lettre ouverte aux Cambodgiens, reconnaît le génocide. » ; et il répond : « Oui, mais il rappelle aussi le programme des Khmers rouges, et c’est ce qui est dangereux ». Dans un pays où la misère et la corruption sont plus grandes que jamais