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Devoir sur le Titanic

A : Bonjours, après avoir écouté cette belle chanson, nous allons vous présenter une récit d'une Florimontaine,

9 avril 1912, 19h45

Je pressentais que ce voyage allait être fort plaisant. Mêmes les conditions météorologiques en témoignaient. J'avais embarqué avec mon mari, Charles Rooney, et nous voyagions en 1ère classe. Nos cabines étaient d'un luxe ! Elle était dotée d'un grand lit très confortable, et de nombreux chandeliers en cristal éclairait notre magnifique chambre. Ce voyage est pour notre lune de miel, et qui est certainement un beau cadeau de mon formidable mari. Le navire est grandiose, nous avons même un gymnase à notre disposition. J'ai entendu dire le fameux capitaine Edward Smith, que ce colosse pèse près de sept cents vingts tonnes et transporte deux mille deux cents vingt-quatre personnes à bord. Imaginez-vous la puissance des moteurs ?

11 avril 1912, 17h35

Que je suis ravie, même le personnel est très serviable, les repas sont délicieux, et il se trouve que le bateau est rempli d'une joie quelque soit le moment de la journée. Avais-je précisé que nous allions aussi visiter les cousins de Charles lorsque nous arrivions à New York City ? Ils m'ont fort manqué et je suis impatiente de me retrouver à leurs côtés. De plus, j'ai hâte de visiter la grande ville de New York, je n'avais jamais pu visiter ce côté éloigné du monde, et finalement j'ai une opportunité ! Nous nous rapprochons du continent Américain, et les passagers deviennent de plus en plus impatients de retrouver la terre ferme. Je n'aurais jamais cru que nous arriverions si tôt, et je croyais que nous devrions même passer quelques jours de plus à bord du Titanic.

12 avril 1912, 18h45

Nous ne sommes plus qu'à quelques heures de New York ! De plus, Capitaine Smith a augmenté l'allure du navire. Mon mari et moi avons déjà rassemblé toutes nos affaires personnelles. Il me semble que tous les passagers sont ravis d'être arrivés à destination, et cela s'entend

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Il tombait, de tellement haut qu’on aurait pu croire qu’il n’atterrirait jamais. Je le suivis des yeux durant un long moment, et, à la fin de sa chute, je m’approchai pour voir le corps. Je fus surpris de ne trouver aucun corps. Je regardai autour de moi, m’adressant aux passants, personne ne semblait avoir remarqué la chute de cet homme, étais-je fou ? Je me mis alors….

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Les dames se protègent contre toute atteinte du soleil ou des regards indiscrets: chapeaux, voilettes, parasols, tentes, et même cabines de plages à roulettes tirées jusqu’à l’eau… Jusqu’à la fin du XIXème siècle, le costume de bain se doit de couvrir l’ensemble du corps et il n’est pas question de nager dans l’eau de mer. On s’y baigne, on ne nage pas: les vagues sont trop effrayantes. La révolution industrielle à l’origine du développement des stations balnéaires Avec le développement du chemin de fer et l’augmentation -très lente- du temps libre, les stations balnéaires ne sont plus réservées à une élite aristocratique et bourgeoise. L’industrialisation de l’Europe du….

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En 1960, il est cofondateur du groupe des Nouveaux Réalistes. Installé depuis 1963 aux Etats-Unis (il prend la nationalité américaine en 1972), il vit et travaille à New York et à Vence, il meurt à NY. En 2005. SON OEUVRE: Entre 1951 et 1956, Arman réalise des tableaux abstraits dans la ligne de l'école de Paris.….

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Charlotte
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CM New YORK Recherche Extrait de l’express : Par Julien Bisson (Lire), publié le 07/12/2009 Entre Sempé et New York, c'est une histoire qui dure. Voici plus de trente ans que le dessinateur français croque inlassablement la Grosse Pomme, fasciné par sa frénésie et ses buildings bariolés. Il était donc temps de réunir en un seul volume l'intégralité des 101 couvertures qu'il réalisa pour le prestigieux New Yorker, complétées par de nombreux dessins inédits. Surprise : on découvre dans ce magnifique ouvrage une cité loin des clichés. Car le New York de Sempé est peuplé de jazzmen, de danseuses, de cyclistes.….

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Joy Cheymol. DEVOIR MAISON :L’EMIGRATION IRLANDAISE AU XIXeme SIECLE. 1) Les 3 raisons qui expliquent la famine en Irlande à partir de 1845 sont : * La maladie qui s’est attaquée aux pommes de terres nommée mildiou causée par un champignon. *….

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Allemand
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Nous sommes arrivés le 13 décembre 1999 à New York, avec le taxi, nous allions [...] à notre nouvel appartement [...] le matin à notre arrivée je m'assoyais entre des boîtes de déménagement dans le nouveau salon à Brooklyn. [...] Je me trouvais à la fenêtre et regardais les gens qui étaient en chemin au travail. Je n'avais aucun pressentiment, où nous avions atterri ici en principe.….

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E.wiesel et j.semprun
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» « Je le visitais une fois, ajoute-t-il, avec Simone (Signoret) et Colette, celle-ci (la femme de Semprun) étant venue nous rejoindre à New York. Et puis une deuxième fois le dimanche 12 septembre 1982, avec Simone seulement, ma femme étant regagné Paris. [...] De Buchenwald à ce dimanche new-yorkais, en passant par nos visions d'Israël, nos vies avaient cheminées sans se croiser, nouées pourtant autour d'expériences comparables. Si tant est qu'on puisse comparer l'expérience d'un ancien déporté juif comme Wiesel à n'importe quelle autre expérience de notre époque.….

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On a constaté lorsque nous sommes allé voir de plus près la boutique, qu’il y avait un axe central principal qui amené tout droit à la caisse ou alors en tournant un peu a gauche aux cabines d’essayage ce qui est pratique. Mais les allés qui sont plus sur les côtés pour regarder ce qui se trouvent sur les portants contre le mur sont très étroits, de ce fait lorsqu’il y a beaucoup de monde dans le point de vente et sachant que ce dernier est de taille plutôt petite, on se sent rapidement à l’étroit et étouffé. Pour l’aménagement de l’espace, on peut dire qu’il est plutôt bien disposé car il y a des portants partout, des tables basses avec des jeans posés dessus, un mur avec tout les sacs accrochés pour qu’ils soient vus par exemple. Pour cela, on….

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Birdman Le film de d’Alejandro González Iñárritu intitulé Birdman met en scène un personnage en quête d’idéal correspondant à celle de Baudelaire. Le protagoniste tout comme dans l’Albatros est à la recherche de reconnaissance. En effet, Riggan Thomson, ancienne célébrité mondialement connue, tente de renouer avec sa gloire perdue en montant une pièce de théâtre connue, mais risque aussi l’humiliation. Ce personnage peut être comparé à l’Albatros qui est à la fois majestueux avec ses « grandes ailes blanches » (vers 7) et « comique et laid » (vers 10).….

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On regrette simplement une fin trop rapide qui ne dévoile pas suffisamment les intentions des personnages. Pour rejoindre New-York depuis la France, deux solutions existent : prendre un avion ou faire la traversée en bateau. Certes, vous avez aussi le sous-marin, mais ce mode de déplacement n’est pas fait pour les touristes… Alors, Simon Second exploite l’imaginaire enfantin en inventant le premier train sous-marin ! «….

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Bonjour, je ne pense pas que nous nous sommes déjà rencontré, quel est votre nom ? What brings you to New York? : Qu’est-ce qui vous emmène à New York ? Voyage ou Affaire….

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