Aristote

32045 mots 129 pages

« Profil Textes philosophiques » Collection dirigée par Laurence Hansen-Løve

Aristote

La nature
(Physique, chap. II) Introduction et commentaire par Jean-Claude Fraisse Traduction O. Hamelin (1ère édition : 1990)

PhiloSophie Texte soumis à copyright © septembre 2008

Table des matières Introduction .............................................................................. 4
Note sur la vie et les écrits d’Aristote .......................................... 4 1. L’objet de la Physique .............................................................. 6
Introduction : sens du mot « physique ».................................... 6 Nature et changement ................................................................ 9 Qu’est-ce qu’un être naturel ?.................................................... 11 Définition par la matière .......................................................... 13 Définition par la forme ............................................................. 14

2. Place de la physique parmi les sciences .................................17
Physique et mathématiques ..................................................... 18 Comparaison avec les arts ........................................................ 20 Physique et science du divin ..................................................... 22

3. Les différents sens du mot cause........................................... 26
Combinaison des causes et degrés de détermination ............... 28

4. Confusions des prédécesseurs d’Aristote .............................. 30
La fortune (chance) et le hasard ............................................... 30

5. La prétendue explication par la fortune ................................ 34 6. Qu’est-ce que le hasard ? ....................................................... 37 7. L’unification des causes et leur fondement immobile ........... 41 8. Critique du mécanisme ......................................................... 45
Son

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299 mots | 2 pages

II. L’offre Les concurrents - Braun (appareils de beautés) - Philips (appareil domestique, appareil électronique…) - Seb (appareil culinaire…) - Kitchenaid (appareil culinaire…)….

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Aristote, galillé, descartes
467 mots | 2 pages

Aristote ; philosophie, science, religion. Socrate est né en 470 av. J.C. et son décès fut en 339 avant notre ère. Platon lui est né en 426 et est décédé en 348. Platon est l’élève de Socrate.….

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Aristophane, lysistrata
788 mots | 4 pages

Quelles sont les enjeux du conflit qui oppose les hommes et les femmes ? Annoce du plan. I. Les signes du conflit - Les rapports de forces en présence : deux forces : le commisaire et la femme. Le commissaire occupe une position pkus importante dans la hiérarchie sociale mais ici il est en minorité. - la distribution de la parole ; la répartition des répliques confirme le déséquilibre en faveur des femmes.….

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Aristote
3921 mots | 16 pages

< Chapitre 1er : QU'EST-CE QU'AGIR MALGRÉ SOI ET DE SON PLEIN GRÉ? > La vertu[1] a pour domaine passions et actions. S'y laisse-t-on aller ou les accomplit-on de son plein gré? Elles provoquent éloges et blâmes.….

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Aristote
321 mots | 2 pages

En menant une existence relâchée les hommes sont personnellement responsables d'être devenus eux-mêmes relâchés, ou d'être devenus injustes ou intempérants, dans le premier cas par leur mauvaise conduite, dans le second en passant leur vie à boire ou à commettre des excès analogues : en effet, c'est par l'exercice des actions particulières qu'ils acquièrent un caractère du même genre qu'elles. On peut s'en rendre compte en observant ceux qui s'entraînent en vue d'une compétition ou d'une activité quelconque : tout leur temps se passe en exercices. Aussi, se refuser à reconnaître que c'est à l'exercice de telles actions particulières que sont dues les dispositions de notre caractère est-il le fait d'un esprit singulièrement étroit. En outre, il est absurde de supposer que l'homme qui commet des actes d'injustice ou d'intempérance ne veuille pas être injuste ou intempérant ; et si, sans avoir l'ignorance pour excuse, on accomplit des actions qui auront pour conséquence de nous rendre injuste, c'est volontairement qu'on sera injuste.….

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Aristophane
539 mots | 3 pages

Athènes et Sparte ; il revient sur le même sujet dans la Paix, qui date de 421 av. J.-C. Entre-temps, il s'en prend à un chef athénien favorable à la guerre, Cléon, dans sa pièce les Cavaliers, qui date de 424 av. J.-C. Il reprend une nouvelle fois son plaidoyer pour la paix dans Lysistrata, en 411 av. J.-C., où il met en scène des femmes qui se refusent à leurs maris militaires pour les obliger à cesser la guerre. Mais il a également d'autres sources d'inspiration, et tourne en dérision les vices de la société athénienne de son époque : dans les Guêpes, en 422 av.….

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Aristophane
299 mots | 2 pages

Aristophane: travail de vacances Aucune loi n’interdisait aux auteurs la diffamation ni l’obscénité. Et le plus grand comique d’Athènes est Aristophane. Il se moquait sans distinction des hommes politiques, des généraux, des philosophes, des savants, des poètes et des grands citoyens : sa verve est caractérisée par sa grivoiserie, son audace, son impudeur et sa gouaille mais surtout par la richesse de sa fantaisie. Aristophane excelle à ourdir des situations d’une absurdité criante et ses personnages tirés tout droit de la vie quotidienne, ou une vitalité exubérante.….

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Aristote
746 mots | 3 pages

« L'amour d'amitié, s'il implique un amour de bienveillance à l'égard d'autrui, ne s'identifie cependant pas avec lui. Il exige quelque chose de plus. Il réclame la réciprocité. Il n'y a pas amour d'amitié sans amour mutuel. Il faut que celui qui est aimé réponde à l'amour qu'on lui donne, par l'amour.….

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Aristote
395 mots | 2 pages

Ce chapitre va définir la justice distributive par l’égalité proportionnelle. Un premier argument justifie cette définition à partir du droit défini comme égalité. En effet, l’injustice particulière nous montre que l’inégalité et l’inégal se divisent en plus grand et plus petit. L’égalité des personnes est inséparable des choses auxquelles elles ont droit, c’est-à-dire qu’on ne peut considérer comme égales que deux personnes qui ont droit à des choses égales, et qui bénéficieront du même traitement dans les mêmes circonstances. Cela conduit donc à la notion de proportion, c’est-à-dire d’égalité de rapports.….

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Aristote
330 mots | 2 pages

Atelier sur le roman : Au Bonheur des Dames #1 Ce sont des alcôves(p.264). Ce sont de vieilles maisons. (p.265) Elles sont mal éclairées, elles ont une haleine de vieux quartier. (p.57)….

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Aristote Imitation
621 mots | 3 pages

La tendance à l'imitation est instinctive chez l'homme et dès l'enfance. Sur ce point il se distingue de tous les autres êtres, par son aptitude très développée à l'imitation. C'est par l'imitation qu'il acquiert ses premières connaissances, c'est par elle que tous éprouvent du plaisir. La preuve en est visiblement fournie par les faits : des objets réels que nous ne pouvons pas regarder sans éprouver du déplaisir, nous en contemplons avec plaisir l'image la plus fidèle ; c'est le cas des bêtes sauvages les plus repoussantes et des cadavres. La cause en est que l'acquisition d'une connaissance ravit non seulement le philosophe, mais tous les humains même s'ils ne goûtent pas longtemps cette satisfaction.….

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Athene
475 mots | 2 pages

La Gaule comme toutes les provinces a eu des gouverneurs, a la tête des 4 provinces, il on été administrateur romains donc la colonisation d'un pays passe par l’administration qui est civile et militaire, une présence militaire assure une sécurité. Cette domination doit-être accompagnée du soutien de l'accord tacite des chefs gaulois, le faite d'accepter une domination permet un développement plus facile. Cette civilisation est de plus en plus connu, elle reproduit le modèle romain dans les autres villes, la civilisation c'est également le latin elle se repend par sa langue par ses constitutions. Le tracé des voix romaines est le même que le tracé de nos autoroutes. La civilisation romaine a surtout favoriser l’urbanisation.….

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Aristot
13499 mots | 54 pages

Mais il y a entre eux des différences de trois sortes ou bien ils représentent par des moyens autres, ou bien ils représentent des objets autres, ou bien ils représentent autrement, c’est-à-dire selon des modes qui ne sont pas les mêmes. Ainsi de même que certains font appel aux couleurs et aux figures pour représenter en images une foule d’objets (qu’ils le fassent par art ou par habitude), tandis que d’autres usent de la voix, de même dans le cas des arts que nous avons cités : tous réalisent la représentation au moyen du rythme, du langage ou de la mélodie, mais chacun de ces moyens est pris soit séparément, soit combiné aux autres. Par exemple, c’est de la mélodie et du rythme seulement que font usage l’art de la flûte, celui de la cithare et tous les autres qui ont les mêmes ressorts, comme l’art de la syrinx ; c’est au moyen du rythme seul, sans la mélodie, que l’art des danseurs représente (en effet, c’est en donnant figure à des rythmes qu’ils représentent caractères, émotions, actions). Mais l’art qui fait usage seulement du langage en prose, ou des vers, et qui, dans ce dernier cas, peut combiner entre eux différents mètres ou n’en utiliser qu’un seul, n’a pas reçu de nom jusqu’à présent.….

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Aristophane
598 mots | 3 pages

ARISTOPHANE - Auteurs de la Grèce antique Poète comique grec de l'époque classique, grand pourfendeur des démagogues et des sophistes. L'oeuvre théâtrale d'Aristophane, le Molière des Athéniens, a par exemple consisté pour l'essentiel à défendre la petite paysannerie et les moeurs démocratiques des origines contre le raffinement trompeur des démagogues et de leurs acolytes dans la classe intellectuelle, les sophistes — ceux auprès de qui on apprend à faire triompher les mauvaises causes à l'aide d'un raisonnement fallacieux.….

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Aristote
1392 mots | 6 pages

L’art peut il être immoral ? Dès la Préhistoire, l’Homme a représenté des animaux, ou autres symboles indéchiffrables encore de nos jours. Ils peignaient sans doute des scènes de la vie quotidienne, néanmoins, des chercheurs affirment que certaines œuvres étaient le fruit de l’imaginaire ou de rite religieux. L’humanité a donc toujours cherché à traduire ses sentiments et ses idéaux à travers des activités créatrice capable d’éveiller la sensibilité et la sensualité des Hommes et donc d’entrainer une réaction chez autrui.….

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