Cas d'entreprise APPLE
I. Analyse de la situation de l’entreprise
1. La logique entrepreneuriale c’est l’ensemble des activités et des démarches qu’impliquent la création et le développement d’une entreprise et plus généralement la création d’activités. Selon Schumpeter l’entrepreneuriat consiste à prendre des risques pour innover et créer de nouvelles opportunités sur le marché (l’entrepreneur est au centre du développement économique car il engendre la destruction créatrice).
Steve Jobs prend des risques en créant le premier ordinateur individuel, l’Apple I, en 1976 (une innovation à l’époque). Apres la sortie de son nouvel ordinateur Apple II, l’entreprise rentre en bourse (un risque pour le capital de l’enseigne).
Suite aux échecs de l’Apple III et du Macintosh respectivement en 1983 et 1984, Steve Jobs quitte Apple.
L’entreprise connaît une période de crise d’une dizaine d’année, en créant beaucoup moins d’innovations et en luttant pour sa pérennité.
C’est grâce au retour de Steve Jobs chez Apple en 1997, que la marque innove de nouveau. Notamment en 2001, avec la ferveur autour de l’iPod et du logiciel couplé iTunes. Apple décide alors de continuer à être entrepreneur et développe les pôles de recherche et développement, pour favoriser les innovations.
L’enseigne poursuit cette stratégie en sortant l’iPhone (Smartphone avec écran tactile et Internet mobile, nouvelle ère de téléphonie mobile), en 2007.
En créant en 2010 l’iPad, Apple révolutionne les NTIC, en proposant une tablette, dotée de fonctionnalités proche du Smartphone et de l’ordinateur portable.
En prenant des risques, en accentuant notamment ses stratégies en recherche et développement (moyens financiers limités), Steve Jobs a su saisir les opportunités de son environnement en innovant.
2. La chaîne de valeur est la décomposition des activités de l’entreprise en activités principales et de soutien proposé par M. Porter. Cette analyse permet d’optimiser les coûts et d’identifier des sources de