Corpus
Dans l’extrait de Zola et Flaubert nous pouvons identifier le peuple de façon collective : « la bande » « la foule » « milliers d’hommes ». Ils évoquent un mouvement de masse de plus la métaphore de l’eau d’un fleuve renforce l’idée de mouvement : « flots vertigineux » « marée » puis « torrent », « tempête humaine ». De plus le chant de la Marseillaise est présent dans ces deux textes : elle permet au peuple de s’unir et de sentir la présence leur présence qui se fait entendre au plus lointain : « la campagne, dans l’ébranlement(…) criait vengeance et liberté » ;« piétinement des souliers, avec le clapotements des voix »
Dans l’extrait des misérable la représentation du le peuple est perçu de façon individuel. Victor Hugo a choisi d’associer Gavroche au peuple, car nous voyons le peuple à travers lui-même, car il les aide à construire une barricade.
Dans les extraits d’Hugo et Zola le peuple est ressenti comme positif grâce aux adjectifs mélioratifs des textes : «envolé et radieux » ; « superbe, irrésistible » pour le texte C. Nous pouvons remarquer une énumération de verbes d’action dans les textes A ET C où G en perpétuel mvt « allait, venait (..) Étincelait » et la bande qui dans la campagne endormie « éveilla (..)