Quand on parle de cosmétiques, la première chose qui nous vient à l’esprit c’est la beauté, car les produits ont été spécialement conçus pour mettre en valeur la beauté d’autrui, généralement des femmes. Mais actuellement, de plus de plus d’hommes se soucient de leur apparence physique et font donc appel à des produits cosmétiques très prisés dans les magasins et boutiques, quel que soit le produit demandé.
Ce qui fait également le succès de la vente de ses produits est qu’ils sont accessibles de partout jusque dans les pharmacies et pour tous : des plus jeunes aux plus âgées.
Non seulement on en trouve de partout mais aussi à des prix assez variables.
Cette étude illustre le parcours des produits cosmétiques jusqu’aux consommateurs finaux en montrant comment s’organise la distribution des cosmétiques classique et naturel.

Le choix du mode de distribution est très complexe à déterminer pour le fabriquant car il doit prendre en compte un certains nombre de facteurs

Ainsi, les marques luxueuses ne vont pas emprunter le même réseau de distribution que les produits bas de gamme pour ne pas nuire à leur image de marque et pour ainsi gagner en notoriété.

De nos jours, les grands producteurs de cosmétiques utilisent de plus en plus les franchises et les succursales pour augmenter leur rentabilité sans nuire à leur image et acquérir une plus grande notoriété.

Aujourd’hui la cosmétique bio fait beaucoup parler d’elle, et celle-ci s’intègre dans le marché grâce à une distribution sélective car on n’en trouve pas de partout, c'est-à-dire que ces produits se trouvent dans certains endroits spécifiques.

Maintenant, les supermarchés et magasins bio et naturels (ex Biocop, La vie claire, Naturéo, Biomonde, Satoriz…) appelés GSS, souhaitent uniquement des marges et excluent d’office les marques sérieuses, tout en mélangeant des concepts incompatibles.

La vente direct via l’ouverture de boutiques porte-drapeau et le développement d’un site de vente en ligne