Le principe des coûts historiques
Principes : Définition, caractéristiques, évolution, conséquences.

Définition - le principe des coûts historiques art 12 : biens acquis à titre onéreux enregistrés à leur coût d’acquisition, biens produits à leur coût de production. Ces valeurs d’entrée demeurent dans les bilans ultérieurs (sous réserve de correction = amortissements, provisions) à leur coût historique bien que la 4ème directive laisse la possibilité d’autres bases d’évaluation (législation française plus souple pour la conso). Le coût historique est universellement adopté. D’autres peuvent cependant s’appliquer mais chacun est utile dans un contexte particulier (coût de remplacement, valeur de réalisation = revente, valeur d’usage) et le coût historique est le plus objectif. On retient donc le coût historique mais on doit cependant tenir compte des dépréciations irréversibles (amortissement) ou non irréversibles (provisions).

Caractéristiques

Coût historique

Dans comptabilité, coût historique est la valeur monétaire originale d'un article économique. Dans quelques circonstances, capitaux et des responsabilités peuvent être montrées à leur coût historique, comme si il n'y avait eu aucun changement de valeur depuis la date de l'acquisition. Bilan la valeur de l'article peut donc différer de la valeur « vraie ».
Tandis que le coût historique est critiqué pour son inexactitude (déviation de valeur) « vraie », il demeure en service dans la plupart des plans comptables dus à sa simplicité, facilité d'utilisation et vérifiabilité. De diverses corrections au coût historique sont employées, beaucoup dont exigez l'utilisation du jugement de gestion et pouvez être difficile à mettre en application ou vérifier. La tendance dans la plupart des normes de comptabilité est un mouvement à une réflexion plus précise de la foire ou de la valeur marchande, bien que le principe historique de coût demeure en service, en particulier pour des