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4780 mots 20 pages
Pistes de lecture : « Pourquoi j’ai mangé mon père » de Roy Lewis

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Pour donner envie de lire … un bref résumé !

Quelque part dans la savane africaine, Edouard est un Pithécanthrope insatisfait de sa situation de charognard frugivore. Snobant l’Australopithèque, primate encore mal dégrossi, et quelque peu inquiet du raffinement des industries lithiques développées par son voisin du Nord, le rugueux Néandertalien, Edouard est bien décidé à faire son petit bonhomme de chemin sur la route jonchée d’épreuves de L’Evolution, quitte à changer d’espèce s’il le faut. Alors, Edouard observe, expérimente, organise, cogite. Sorte de Professeur Tournesol du pléistocène moyen, il réussit (presque) à maîtriser le feu et avec ses enfants, il met au point, avec une foi inébranlable envers le Progrès, la fourrure amovible, l’exogamie, le rôti de bœuf, l’orchestre symphonique, les traités de paix, l’art figuratif, l’arc et les flèches, les discours à la fin des repas de famille... Le reste de la horde suit avec enthousiasme ou méfiance tandis que le vieil oncle Vania, un peu réactionnaire, garde pour seul mot d’ordre : « Back to the trees ! ». Roy Lewis résume en 180 pages, en un conflit de générations, quelques centaines de milliers d’années qui mèneront l’Homo erectus vers un sapiens qui refermera ce livre dans un grand éclat de rire.

À la différence des autres livres traitant du même sujet, Pourquoi j'ai mangé mon père prend le parti de nous cultiver en nous faisant rire. Les personnages s'expriment comme vous et moi mais ils vivent dans la Préhistoire. Approchez homo sapiens ! Ce livre vous fera hurler de rire ! Faites la connaissance d’une famille préhistorique : Edouard, le père, génial inventeur qui va changer la face du monde en ramenant le feu ; Vania, l’oncle réac, ennemi du progrès ; Ernest, le narrateur, un tantinet benêt ; Edwige, Griselda et autres ravissantes donzelles. Ces êtres délicieux font le monde autour d’un feu en dégustant des os à

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