Introduction à la psychanalyse
Le complexe d’Œdipe c’est la légende grecque du roi d’Œdipe qui dit qu’il a suivi son destin et a tuer son père pour épouser sa mère. L’enquête de ce crime a une très grande ressemblance avec les démarches d’une psychanalyse. La mère de celui-ci est aveuglée par l’amour de son fils, elle s’oppose donc à la poursuite de l’enquête. Elle dit que plusieurs hommes ont rêvé qu’ils vivaient avec leur mère et que les rêves ne méritent aucune considération. Dans le fond cette légende est une partie immorale elle supprime la responsabilité de l’homme, attribue aux puissances divines l’initiative du crime et l’impuissance sur le morale de l’homme à résister aux actes criminels. Ce n’est pas à cause de cette morale que le lecteur réagit autant c’est au contenu mystérieux de la légende et au fait qu’il se reconnait en lui-même par l’auto-analyse le complexe d’Œdipe. Comme s’il apercevait son propre inconscient, comme s’il se souvenait d’avoir déjà ressenti lui-même le désir de repousser son père et d’épouser sa mère. Même en éliminant ses mauvaises tendances l’homme croit pouvoir dire qu’il n’est pas responsable de la mort de son père il n’éprouve pas moins la responsabilité comme un sentiment de péché dont il ignore les motifs. Le complexe d’Œdipe nous révèle de l’enfant qu’il veut avoir sa mère pour lui tout seul, que la présence de son père le dérange, et l’enfant boude lorsque le père manifeste des marques de tendresse à la mère. L’enfant ne cache aucunement sa satisfaction lorsque le père est absent ou en voyage. L’attitude du petit garçon s’explique par des motifs égoïstes et n’est nullement l’hypothèse du complexe sexuelle. Les parents ont très souvent une influence décisive sur l’acquisition par leurs enfants du complexe d’Œdipe, en se servant de leur côté l’attraction sexuelle. Donc dans les familles ou il y a plusieurs enfants, le père préfère la petite fille tandis que la mère préfère le petit garçon, ce qui argumente le fait que la