Je ne sais pas quoi écrire ...
Les tourniquets
Dans ce parc de jeux, des personnages occupent ces tourniquets, s’appropriant presque entièrement cet espace, réservé à la base aux enfants. Ils semblent déjà avoir quitté le monde de l’enfance et deviennent incongru, dérangeant dans ce paysages. Tels des pantins désarticulés, ils donnent un aspect angoissant, inquiétant à ces jeux d’enfant.
Le cris
Nous voyons une jeune fille, dont le visage serein vire soudainement à un visage plein d’angoisse, assise sur son fauteuil dans un endroit inapproprié. La scène est baignée dans la lumière du crépuscule, une lumière de fin du jour. Bientôt, elle passera du jour à la nuit, du connu vers l’inconnu. Cette jeune fille, qui n’est plus une enfant, semble angoisser à l’approche de l’inconnu qu’est l’existence adulte. Son visage se marque par l’effroi au fur et à mesure que le jour décline.
Le carrousel
Ce projet constitué de 3 peintures traduit ma propre angoisse, un peur qui m’est personnelle. Le carrousel et à la base symbole de fête, de joie, de souvenirs d’enfance. Paradoxalement, ce carrousel est ici meurtrier et symbolise la terreur et la mort.
Chaque éléments de ce carrousel prennent un aspect cauchemardesque. Le familier prend un autre visage. Nous
Reflet du passé
Cette image nous montre une jeune fille, de dos, ce regardant dans un miroir. Seulement ou lieux de son reflet, elle y voit la petite fille qu’elle a été, lui jetant un dernier