la socialisation des individu
[...] En revanche, le niveau de vie et la qualification influenceront de manière directe les pratiques culturelles de l’individu. Effectivement, comme on a pu le constater, le nombre et la fréquence des pratiques culturelles dépendent directement du niveau de vie en matière de financement de ces activités, et de la qualification en matière d’intérêt porté à celles-ci. Pour conclure, ces trois caractéristiques jouent un rôle, plus ou moins important, sur le niveau de pratiques culturelles d’un individu par un moyen direct (intérêt porté, organisation des revenus qui ne permet pas forcément des activités récréatives) ou indirect (valeurs inculquées ou intériorisées durant l’enfance et l’adolescence). [...]
[...] L’envie d’acquérir un diplôme implique donc, en fonction de sa valeur l’envie de s’impliquer dans un milieu où la culture est prédominante. Mais la socialisation familiale joue elle aussi un rôle, indirect, dans l’importance donnée aux pratiques culturelles. Les pratiques culturelles peuvent être, pour l’individu concerné, inexistantes, des sorties occasionnelles ou des habitudes. Ces choix dépendent de l’éducation donnée par la famille, de la prime enfance à la fin de l’adolescence. En effet, les parents choisissent quelles valeurs mettre en avant. [...]
[...] Les deux pratiques ici choisies en tant