Si on prend le mot liberté, au sens premier du terme, c'est faire ce que l'on veut. Or pour décider de ce que l'on veut, il faut savoir ce que l’on veut, donc qu’on y soit conscient. Ces deux notions de liberté et de conscience sont donc liées. Cependant le raisonnement ne s'arrête pas là car d’après Freud, on peut dire que l’inconscient à sa part de responsabilité dans ses choix, malgré le fait de savoir ce que l’on veut, on ne peut pas toujours savoir pourquoi on le veut et c’est ainsi qu’intervient l’idée de Freud, on veut quelque chose, mais on ne saurait l’expliquer, ce qui est dut à notre éducation, à notre embrigadement.

La liberté selon la plupart des hommes est le fait d’écouter des pulsions, ses envies et ainsi de faire « comme bon nous sembles », cependant, comme dit précédemment, afin de rechercher à assouvir ses envies, il faut être conscient de ses propres désirs, de ce que l’on aime et ce qui nous fait du bien, à notre corps et aussi à notre esprit. Si on pense comme Descartes et que la conscience a une grande part en nous, c’est elle qui régit nos désirs, car afin de les assouvir, il faut les connaitre. Nous avons donc conscience de chacun de nos actes puisque le conscient domine en nous et sommes donc responsables de nos actions puisqu’elles sont réfléchis, et nous avons dut envisager toute les possibilités afin de réalisé cette action en toute sécurité.

Cependant, tout dépend de liberté nous parlons ici, car prenons l’exemple d’un esclave ou d’un prisonnier, malheureusement pour eux, ils sont conscient de leur états de soumissions mais ne sont pas libre, car ils n’ont pas la possibilité de changer cet état. Être conscient ne veut donc pas dire être plus libre… Le fait est que la liberté ne dépend pas essentiellement de nous, mais des personnes qui peuvent régir notre corps, qui peuvent le laisser à notre conscience ou l’utiliser comme un jouet, et le dominer. Prenons un autre exemple : un enfant qui perd son ballon sur les rails d’un