Lithiase urinaire - ue
Paul Meria
Olivier Traxer
Pierre Bigot
I Introduction
II Épidémiologie
III Physiopathologie : formation des calculs
IV Diagnostic
V Évolution
VI Traitement
VII Suivi des patients
VIII Cas particuliers
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Objectifs pédagogiques Diagnostiquer une lithiase urinaire. Argumenter …afficher plus de contenu…
fig. 14.8 et 14.9).
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c TDM TAP avec et sans injections de produit de contraste
• La TDM TAP sans injection est l'examen de référence dans l'urgence, pour le diagnostic des CN. Elle permet de voir les calculs radio-transparents à l'ASP. • La TDM TAP avec injection de produit de contraste et clichés tardifs (uroscanner) est l'examen de référence dans le bilan étiologique. Elle est réalisée après avoir vérifié l'absence d'allergie aux produits de contraste, et l'absence d'insuffisance rénale.
Elle fait apparaître avec précision la morphologie de la voie excrétrice et la localisation du calcul. On considère que tout patient lithiasique doit avoir au moins une fois dans sa vie …afficher plus de contenu…
Les formes hyperalgiques et oligoanuriques sont également traitées par un drainage des urines.
La pose d'une sonde urétérale ou d'une sonde JJ (endoprothèse) se fait le plus souvent sous anesthésie générale après avoir vérifié l'absence d'hyperkaliémie menaçante, qui nécessiterait une correction préalable. La sonde urétérale est utilisée uniquement lorsque les urines sont très purulentes ou « épaisses » et elle est extériorisée par voie urétrale, ce qui permet d'avoir un contrôle sur la qualité du drainage. Elle est remplacée par une sonde JJ si l'évolution est favorable dans les 48 heures. Néanmoins, le plus souvent on met en place une sonde JJ
(endoprothèse) d'emblée. La sonde de néphrostomie percutanée est une alternative. Elle est