2.3 L’idéologie de dépassement
L’idée, ici, c’est que le Québec doit s’assumer, se définir des buts afin de se surpasser et ainsi de réussir.
Les objectifs sont : * Regagner la possession et le contrôle de l'économie * Stabilité politique pour la société Québécoise * Garantir une qualité de vie aux québécois dans le domaine économique( salaire décent) ,social(allocation familiale ,pension),culturel( langue, littérature, art,,etc. ) * Assurer une plus grande participation des citoyens aux diverses institutions de la société. (Participation des parents à l’école, décentralisation, etc.)

Sur le plan linguistique, l’idéologie de déplacement marque l’altération avec l’idée de français héritage .Le français québécois est vu comme étant une variété non identique aux autres et l’esprit et la façon d’aborder les questions changent. Lors les conférences et les débats de Biennale, les linguistiques québécois et les intellectuels confirment ce fait.
Le français québécois est nommé le joual. La réaction au jouai mépris se traduit par une valorisation de soi et le jouai mépris devient fierté, utilisé par certains écrivains.

3. Histoire de la scolarisation
Jusqu’en 1960, la population québécoise est sous scolarisée. L’Etat essaie de promouvoir la scolarité et les chiffrent montre une faible amélioration malgré tout : 70 000 enfants en 1845,
75 000 en 1850, 172 000 en 1860, 217 000 en 1870.
La population francophone du Québec dispose de 8 établissements d'enseignement supérieur, fréquentés par 751 élèves en 1871.

4. Constitution de la classe ouvrière

La classe ouvrière québécoise est constituée du surplus et d’émigration de la population rurale. Les ouvriers d’origine paysanne plus indépendants et individualiste trouvent des patrons anglophones et devront faire face à l’anglais utilisé comme seul langue de travail. Ainsi, les québécois qui travaillent dans les usines anglophones seront plus fragiles face à la langue.

5. Conclusion de