Ce regard qui déclencha l'amour...Ton image est gravée dans mon cœurDepuis ce regard furtif mais ravageurQu’un beau jour tu m’as accordéEt auquel je ne cesse de penser.Les mois passèrent sans que je puisse te revoirCe qui a suscité en moi un réel désespoirMais n’ayant aucune idée de ton identitéJe me suis résigné à laisser le destin opérer.Croyant à ma bonne étoile j’ai décidé de tenirCar personne ne sait de quoi sera fait l’avenirRéfugié constamment dans mes penséesJ’ai un temps, cessé d’exister.Jusqu'à ce que ma sœur me présente à une amieQui n’était autre que toi la femme de ma vieToi dont j’avais rêvé pendant des moisToi qui te trouvais dès lors près de moi.D’un regard timide je t’ai longuement contempléTout en me disant que tu étais enfin à ma portéeTellement troublé par ton charme je ne pouvais agirPour essayer de te plaire, à toi qui devais déjà partir.De toute ma vie ce fut le moment le plus envoûtantMon cœur était alors envahit d’un bonheur enivrantMon plus grand souhait venait d’être exaucéEt le cours de mon existence allait en être changé.Pendant tout un été tu as hanté le moindre de mes rêvesSans laisser à mon cœur ne serais-ce qu’une trêveMais dix milles kilomètres nous séparaient alorsJe ne pouvais que penser à toi Marie-Laure.Par chance le destin nous a réunis dès mon retourTon regard d’émeraude à réveiller en moi l’amourMais embarrassé je ne pouvais te dire la véritéIl me fallait en premier lieu acquérir ton amitié.Assez vite une très agréable entente s’est établit entre nousTu étais merveilleuse comme dans mes rêves les plus fousMais ce bonheur ne fut pour moi que de courte duréeCar contre notre histoire ma mère s’est insurgée.Séparés, la vie de chacun de nous à suivie son coursSans pour autant que je t’oublis, toi mon grand amourAvec le temps mes sentiments pour toi grandissaientMais pour éviter la souffrance je devais t’oublier.Jusqu’à ce qu’une nuit, un rêve vienne tout chamboulerTu m’y étais apparue encore plus belle que jamaisOubliant tout mes