L'affaire des bacchanales
I/ Le degrés de gravité que l’aristocratie romaine confère à cette affaire * Nature des autorités qui interviennent. C’est une affaire jugée grave par les autorités romaines (le sénat qui vote, les consuls, mais aussi les préteurs et les édiles). Mobilisation globale jusqu’aux magistrats inférieurs * . Le niveau de la répression : peine de mort / violence de la répression révèle le degrès de gravité
II/Menaces contre les hiérarchies sociales traditionnelles * Ce qui inquiétait les autorités romaines c’est le fait qu’elles échappaient à toutes les formes traditionnelles de contrôle sur l’aristocratie sur la pop. Se déroulait en dehors des réseaux clientélaire. Elle avait peur car elle ne le contrôlait pas. C’était des cultes à mystère, dans le secret. Ca gène les romains, la religion doit être publique (pb de l’hellénisme). Mystère d’Eulesis. * Il y a une solidarité entre les fidèles. Hiérarchisation interne. Elle n’est pas clientélaire habituel . Il y a un effet de masse qui gène l’aristocratie.
III/Ces réseaux de fidèles semblaient remettre en cause la domination de Rome sur l’Italie * On voit une répression qui s’impose aux alliés. On l’a retrouvé à Tyriolo ce sénatus consulte. Le premier cas d’ingérence de Rome à l’egart des alliés italiens (qui sont censés être indépendants) * Oblige les autorités alliées à collaborer. En dehors de rome, pour pouvoir pratiquer un culte, il faut demander l’accord au sénat et aux