Brancard

amas d’une dizaine de corps juifs particulièrement des femmes, des vieillards et des enfants désignés inaptes au travail. A gauche, on aperçoit 3 Sonderkommando torse nu, vêtus de pantalons rayés avec des chaussures, le crane rasé. L’un enfonce un brancard remplis de corps tandis que les 2 autres le maintiennent avec une barre de fer. Le four est en pierre et d’énormes flammes s’échappe de la porte, carbonisant les corps. Au dessus, on peut voir s’échapper le manche d’une pelle en fer servant à enfourner

un drapeau français enorme flotte au-dessus. On aperçoit au loin la fumée d'un incendie. À gauche, dominé par un arc un homme habillé à la manière orientale distribue du pain, aidé par un serviteur. Derrière eux, deux noirs en livrée portent un brancard. À droite, sous deux arcades, Napoléon, touche un malade à son aisselle. Au premier plan, un médecin arabe donne des soins à un autre malade. Le bas du tableau est occupé par des hommes prostrés. La lumière du tableau et le jeu des couleurs mettent

pour emmener le corps de M. R. jusqu’à l’entrée du funérarium. A partir de là tout a changé pour moi. L’endroit était froid et lugubre. Un homme nous reçoit. Il nous demande de l’aider et il retourne le corps brutalement pour le coucher sur un autre brancard. Puis, il ouvre une grande porte grise et me dit : « Voilà le frigo commun où on met tous les sacs ». C’est alors que l’aide-soignante me dit en riant : « Imagine ! S’ils n’étaient pas dans des sacs, ils se souilleraient tous les uns, les autres

essentiellement pour se changer ou a l'aide des fenêtres simuler un changement de pièce ou de lieu. L'avantage de ces casiers c'est qu'ils étaient amovibles, pour conclure le décor se fondait sur ces casiers. Apparu deux fois pendant la scène, une sorte de brancard à roulettes est utilisée pour les scène d'analyse et de preuves par la police scientifique ce qui accentuait l'ambiance du polar que la troupe voulait mettre en place. II/ L'UNIVERS SONORE ET LUMINEUX : Pour l'univers lumineux, la troupe décide

traitement des cadavres qui, premièrement entassés dans des fosses, puis inhumés au paroxysme de l’épidémie, doivent remémorer la douloureuse réalité des camps de concentration : « Quand les voyages de l’ambulance étaient terminés, on amenait les brancards en cortège, on laissait glisser au fond, à peu près les uns à côté des autres, les corps dénudés et légèrement tordus et, à ce moment, on les recouvrait de chaux vive, puis de terre, mais jusqu’à une certaine hauteur seulement, afin de ménager la

l'orientation des patients. Les pompiers ammenèrent Monsieur X. patient retrouvé en état d'ébriété sur la voie publique avec probable consommation de stupéfiants. Il présentait des dermabrasions au niveau du visage. J'installa Monsieur X. sur un brancard afin de lui prendre ses constantes. Monsieur X. était calme. Il n'étais pas opposant mais étais logorrhéique. Pendant ce temps, S. l'infirmière était sur l'ordinateur afin de réaliser la fiche d'accueil. Tout à coup, elle me demande de surveiller

très bien et facile à lire, je le conseille. Résumé L'histoire se passe en octobre 1915, Blaise Cendrars est engagé dans la guerre en tant que soldat. Il se trouve en Champagne. Sur le front, il est blessé ; sa main est amputée. Il attend sur un brancard qu’on vienne le chercher. Quand l’ambulance arrive, Il est embarqué avec trois autres blessés. Ils doivent être emmenés à la gare, où ils prendront le train jusque Biarritz. Lorsqu’ils s’arrêtent, ils sont censés prendre rapidement le train pour

galop je m'enfuis je m'enfuis vers la grande ville où tout brille et tout luit en moto j'arrive à Sabi en Paro excusez-moi je parle cheval un matin j'arrive à Paris en sabots je demande à voir le lion le roi des animaux je reçois un coup de brancard sur le coin du naseau car il y avait la guerre la guerre qui continuait on me colle des oeillères me v'là mobilisé et comme il y avait la guerre la guerre qui continuait la vie devenait chère les vivres diminuaient et plus ils diminuaient

écrit à l’angle du dessin qu’il était un ancien marin Allemand. Il est arrivé à Birkenau "le 5 mars 42, de Buchenwald, où il avait été Kapo du crématoire" (F. Piper). Il avait alors fait modifier le système d’enfournement des cadavres (avec des brancards et non plus avec des chariots). Filip Müller le décrit en ces termes : "Un homme d’une cinquantaine d’années, à la silhouette longue et efflanquée, il marchait légèrement courbé en avant. Son visage anguleux et ridé, aux pommettes saillantes, le

croquis nécessaires à l'intervention. Une fois au bloc, je l'aide à s'installer et retire sa tunique puis quitte la pièce d'un joyeux « à tout à l'heure ». Il est 9h02. 10h04. L'infirmière et moi récupérons Mme A., toujours inconsciente sur le brancard et l'amenons en SSPI où les soins post-opératoires seront administrés. L'opération a duré 58 minutes et s'est très bien passée. Le médecin anesthésiste nous prévient que les effets de l'anesthésie générale ne vont pas tarder à se dissiper. La brassière