Cinéma direct

Le cinéma direct Le cinéma direct (terme inventé par Mario RUSPOLI) à son apogée entre 1958 er 1963 a pour but de filmer de manière non controlée en acquérant plus d'autonomie notamment grâce au matériels plus légers comme la caméra 16mm et le son direct premièrement exploités par Richard LEACOCK, précurseur et théoricien du cinéma direct. Le cinéma n'est pas un reportage ou un documentaire car la plupart du temps leurs images sont réfléchie longtemps à l'avance, souvent un scénario est écrit

découvrir les avantages de la caméra à l’épaule : la rapidité et la mobilité. Cette image, parfois imparfaite, devient la marque de fabrique de son écriture cinématographique, et la principale caractéristique de ce que l’on appellera bientôt le « cinéma vérité ». C’est aussi en 1946 que Jean Rouch achète sa première caméra – une Bell & Howell - sur un marché aux puces ! Et profite d’une escale dans le Sahara pour en apprendre le maniement. Dès 1947, son premier film, « Au pays des mages noirs »

visuelle est une branche de l'anthropologie culturelle, appliquée dans l’étude et la production d’images, dans les domaines de la photographie, du cinéma ou, depuis la moitié des années 1990, dans celui des nouveaux média utilisés en ethnographie. Ce concept englobe l’étude anthropologique de la représentation, dans le rituel, au spectacle, au cinéma, au musée, en art ou dans la production et réception des moyens de communication de masses, les média. Sur l’essentiel, le concept d’anthropologie

[pic][pic]Cinéma et vidéo documentaire. Examen : janvier, choix entre un journal (2 pages par film) ou oral. I. Styles et fonctions documentaires. (N.B : le cours n’est pas structuré chronologiquement.) Deux fonctions du documentaire : 1. fonction d’enregistrement, de trace du réel : mobile majeur. Faire des films pour en avoir la trace. 2. permet de mieux voir le monde (outil= caméra), on regarde mieux les choses. 1. Capter le réel -, en conserver la

article "Le cinéma et l'exploration", à un filon de l'époque que le critique nomme les films "blancs" et qui rencontre le succès à la suite du film d'Herbert G. Pounting, L'éternel silence, "Nanouk de R. Flaherty demeure le chef d'œuvre." De fait, le film pose les bases du "cinéma-vérité" (repris plus tard par Jean Rouch, Pierre Perrault ou, sur des modes différents, Joris Ivens et plus récemment Denis Gheerbrant ou Lisandro Alonso dans son film La Libertad) et, plus spécifiquement, du cinéma ethnographique

Juhe Sukuzi Analyse de documentaire Chronique d’un été réalisé par Edgard Morin et Jean Rouch Cinéma Vérité. Le terme est utilisé pour la première fois en 1960 par Edgar Morin, sociologue français, à propos du film qu’il réalise avec Jean Rouch ; Chronique d’un été. A cette époque, grâce aux progrès techniques (16mm, Nagra, etc), il est pour la première fois possible d’enregistrer aussi bien les images que le son en extérieur et au même moment. Morin et Rouch profitent de cela pour

Jean Rouch est un réalisateur de cinéma et ethnologue français. Il est un des premier à pratiquer le cinéma direct, ce qui le rendra et le fera rester célèbre jusqu’à aujourd’hui. Il a réalisé de nombreux films ethnographiques sur les peuples africains et leurs coutumes, étant un des premiers anthropologues français à s’intéresser aux migrants, à la ville et au sous-prolétariat d’Afrique. Une de ses particularités est qu’il ne voyait aucune frontière entre l’ethnologie du secteur traditionnel et

réalisateur de cinéma américain, né le 16 février 1884 à Iron Mountain, dans le Michigan, et décédé le 23 juillet 1951 à Vermont, dans le Montana.Il est souvent considéré, avec Dziga Vertov, comme l'un des pères du film documentaire et du docufiction, dans un article du New York Sun écrit par John Grierson, qui travaillera plus tard avec Flaherty. C'est lui qui établit le premier le principe de fréquentation et complicité avec les filmés qui sera cher, plus tard, au cinéma direct, méthode largement

caméra, qu'il faut complètement intégrer les artifices du cinéma au film et ce même s’ils souhaitent faire du « cinéma-vérité ». C'est la présence de la caméra et de la prise de son simple qui permet aux choses de s'exprimer, c'est elle qui provoque le surgissement de ce qui n’a jamais été dit, voir ignoré par la personne car celle-ci n’avait jamais eu l’occasion de mettre des mots dessus. Leur travail les mènent vers un « cinéma qui permet d’entendre la parole », quitte à ce que celle-ci

doit posséder les caractéristiques suivantes : Processeur Pentium II 266 MHz avec 32 Mo de RAM (64 Mo recommandés) ou Pentium II 233 MHz avec 32 Mo de RAM : carte graphique Direct 3D compatible de 8 Mo ou plus pour l'accélération graphique Windows 95 ou supérieur (y compris Windows 2000 et Windows Me-Millennium) IPA DirectX 7a (disponible sur le CD-ROM) Lecteur CD-ROM quadruple vitesse ou plus rapide Espace disque disponible de 250 Mo pour une installation minimale et 400 Mo pour une installation