Coma

plaint d'une sensation pénible et angoissante parfois douloureuse. Le coma: Abolition durable de la conscience. Coma: Coma vigil (stade 1): Obnubilation, les stimulations fortes provoquent une réaction. Coma Léger (stade 2): La personne ne répond plus aux stimulations, vie végétative conservée, léger trouble de la déglutition. Coma profond (stade 3): Absence totale de conscience, troubles des fonctions végétatives. Coma dépassé (stade 4): Etat de mort cérébrale, les autres fonctions vitales

révolu: l'individu a eut conscience de son existence, de lui-même mais a perdu cette faculté pendant un certains temps qui peut-être plus ou moins long. Il peut s'agir d'un simplement évanouissement passager (malaise, coma de courte durée...) ou d'un évanouissement de longue durée ( coma prolongé, cerveau endommagé de façon irrémédiable etc...). Dans tous les cas c'est ce processus cognitif qui est défaillant, et sans lui, pas de moyen de connaître. Cette perte de la connaissance est liée intrinsèquement

connu un accident grave, elle peut se retrouver dans le coma qui est un état pathologique caractérisé par la perte des fonctions de relations (conscience, mobilité, sensibilité) avec conservation de la vie végétative (respiration, circulation). On connaît aussi le coma dépassé, c'est un coma très profond, irréversible, correspondant à la mort cérébrale. Pour la famille et le personnel médical, il parfois difficile (tout dépend dans quel état de coma la victime se trouve) de savoir si la personne va se

s’amoindrissent, on devient somnolent. Des nausées et des vomissements peuvent survenir. L’ivresse peut aussi prendre des formes plus inquiétantes avec des pertes de mémoire, des délires, des hallucinations. À plus forte dose encore, la somnolence tourne au coma éthylique et, sans secours, on peut en mourir. Attention, consommer de l’alcool en même temps que certains médicaments, du cannabis ou d’autres drogues amplifie les effets de chacun de ces produits et entraîne des risques d’autant plus graves pour

conscient, il faut néanmoins être inconscient. Par exemple lorsque l'on s'endort et qu'on se réveil brutalement, on se dit " Ah ! Je me suis endormi ", il nous faut des brèves coupures pour que l'on prenne conscience de notre existence. Un homme dans le coma est inconscient, un chauffard l'est aussi dans la mesure ou il ne sait pas ce qu'il fait? Tout comme il est difficile d'entendre " tu as changé ! je ne te reconnais plus ", cela implique qu'il y a une part de nous même qui joue un rôle en nous, mais

brusque d'humeur, sueur, tremblement, troubles visuels, pâleur, faiblesse musculaire, nervosité, troubles du langage. Symptômes hyperglycémie: soif importante, polyurie, céphalée, ralentissement de la pensée Complications possibles: acidocétose, coma hyperosmolaire, neuropathie, néphropathie, HTA, rétinopathie, maladies cardiovasculaires etc. Traitement médicamenteux INSULINE + ALIMENTATION + ACT PHYSIQUE insulines humaines à action rapide début 20-30 min, pic d'action 2-4 h, durée 5-6h, injection

degrés divers un syndrome infectieux, des signes d’hypertension intracrânienne et un syndrome rachidien. * Le tableau clinique est variable en fonction de l’agent infectieux, du terrain, de l’association à une encéphalite ou à des signes de gravité (coma, purpura extensif…), en cas d’antibiothérapie préalable. * La ponction lombaire permet de confirmer le diagnostic. L’analyse du LCR (aspect, nombre et type de cellules (polynucléaires, lymphocytes), biochimie, examen bactériologique direct et

• Date d’admission : le 12/04/2012 • Motif : 3) antécédents chirurgicaux et médicaux en lien avec la situation actuelle • Médicaux :AVC hémorragique en 2004 avec coma végétatif depuis, sonde d’alimentation par gastrotomie, hémorragie cérébrale massive en septembre 2008 coma végétatif et diabète depuis l’accident, mal formation artério-veineuse depuis plusieurs année ayant entraîné un très volumineux hématome fronto – pariétal droit, notion d’épilepsie sur mal formation

augmentation d'accidents de vigilance, d'agressions sexuelles et de scènes de violence menées par des personnes alcoolisées. Alors que l'âge des premières cuites est de 12/14 ans, les risques encourus sur le plan de la santé mettent en jeu le pronostic vital: coma éthylique, hépatite aiguë fulminante, alcoolodépendance..4 Ces risques sont d'autant plus importants si l'on s'intéresse d'avantage aux chiffres: entre 2004 et 2007, une augmentation de 50% des hospitalisations pour ivresse grave a était constatée

sensation de bien être et desinhibition, euphorie, ébriété avec incoordination motrice, trouble de l’élocution, baisse de la vigilance, obnubilation, asthénie avec endormissement voir coma Ivresse grave : excitomotrice, forme psychiatrique (dépressive ou maniaque, délirante, hallucinatoire, risque suicidaire), coma de courte durée Effets de l’alcoolisation          0 à 0.15 g/l = rien à signaler 0.15 à 0.30 g/l = début des troubles visuels 0.30 à 0.50 g/l = troubles