Comices centuriates

participation aux comices. Le citoyen n’a pas forcément le droit d’être élu, le système romain est censitaire, la participation à la vie politique est lié à des contingences financières. L’égalité était proportionnelle : il dépendait du cens (un niveau de richesse). Les riches qui ont plus de droit on aussi plus de devoir. De plus, les charges de magistrats sont extrêmement coûteuses et le magistrat doit rendre des comptes à la ville. 2 - Les comices : - Les comices centuriates (comitia centuriata)

beaucoup de ses pouvoirs. On s’oriente vers une monarchie. Le deuxième roi (Servius Tullius) est à l’origine de deux notions importantes : le cens (le recensement des citoyens) et une assemblée qui regroupe ces citoyens qu’on appelle les comices centuriates. Les citoyens sont recensés en fonction de leurs richesses (ex : la cité n’équipe pas ses soldats, c’est à lui d’acheter ses armes, ses vêtements…). Les plus riches sont les chevaliers, puis les fantassins cuirassés et les plus pauvres. C’est

magistrats exercent le pouvoir au nom du peuple, ils sont d’ailleurs élus dans les assemblées populaires (les comices). Sont élus par les comices centuriates les magistrats supérieurs (censeur: le recensement de tous les citoyens et l'évaluation de leurs fortunes, préteur : organisent des procès, protègent les étranger, consuls dont on verra leurs fonctions dans un instant). Sont élus par les comices tributes les magistrats inférieurs (les édiles : veillent sur l'approvisionnement en blé, organisent les

édiles plébéiens, créés en -494 en même temps que les tribuns dela plèbe. Leur nom provient du mot latin aedes (le « temple »), peut-être parce que leur première fonction est d'entretenir le temple de Cérès. Ils sont deux, élus chaque année par les comices centuriales, et sont plus des assistants des tribuns de la plèbe — à ce titre ils entendent par exemple les causes de moindre importance que les tribuns leur confient. Ils ont enfin la charge du maintien de la paix publique, de la décence, de l'inspection

peuple. Pour le peuple souverain le pouvoir vient d'en bas et à Rome il y a un équilibre entre les deux (Haut-bas). Certains magistrats étaient élus par les comices centuriates comme le censeur, les préteurs, les consuls mais il ne pouvait y avoir d'élection que pour des magistrats proposés. Le rôle du président, de la commission réunissait les comices et avaient un pouvoir immense, est important. Si les élections n'allaient pas bien il pouvait ne pas publier les résultats ou dire qu'il avait reçut un

patricien donc peut être nommé interroi. Par tradition, quand il sera élu dictateur, Sylla le nommera maître de cavalerie, c’est-à-dire en théorie un « second » du dictateur qui servirait à éviter les excès. Au lieu de le laisser réunir les comices centuriates pour élire deux nouveaux consuls, Sylla “adressa un message à Flaccus pour le charger de dire au peuple qu’[…] il croyait utile qu’on conféra à l’un de ceux que l’on appelait dictateur le gouvernement de la république, chose qu’on n’avait point

(censor, oris, m.) n’y figure pas non plus. Elle ne fait pas directement partie du cursus, c’est une fonction temporaire et centuriates. — La fonction de dictateur (dictator, oris, m. ) est absente du cursus, car c’est une magistrature exceptionnelle, en cas de crise très grave. réservée aux anciens consuls, même si les censeurs sont élus comme les préteurs et consuls par les comices II Les magistratures et leurs attributions Pour des raisons de clarté, toutes les magistratures seront représentées

intégration à la citoyenneté (la guerre sociale) - Les classes censitaires et l’égalité géométrique - La noblesse - L’ordre équestre - Les esclaves et les affranchis - Les institutions romaines : le Sénat, les assemblées du peuple (comices curiates, comices centuriates, comices tributes et concile de la plèbe), les magistratures (questure, édilité, préture, consulat, censure, dictature, tribunat de la plèbe) - Les réformes gracchiennes : Tibérius Gracchus (la réforme agraire et les autres tentatives

permettait de consulter les comices centuriates concernant les actes de mise a mort. Le gouvernement de la cité par le biais d’assemblées : permet un partage du pouvoir entre plusieurs organes. L’ecclésia à des pvr très large, démocratique, elle n’est pas pour autant souveraine c’est la loi qui est souveraine. En face de cette assemblée, on trouve à Rome des comices : centuriates, curiates, tributes. Les citoyens a la différence d’Athènes n’est pas égale. Les comices le plus importante ont

populaire, en lien directe avec la promulgation de la loi des douze table,les comices centuriates qui est une assemblée à laquelle on assiste sur des critères censitaire, majoritairement réservé à la noblesse > avancée vers une legislation populaire. Elle fut soumise et votée par les comices centuriates, elles fut la première loi votée à Rome, on l'appel à Rome lex rogata. Par la loi des douzes tables les Comices Centuriates ont fait leur entrée ds le jeu constitutionnel romain. La loi interdit les