Douala

limite entre les peuples Mbo’o et Bakossi dans le Sud-ouest). La langue Mbo’o tout comme le Douala, le Fé-efe et le Elong est parlée dans le Littoral (Douala, Mouangel, Mbouroukou, Baré-Mbeng), à l’Ouest et au Sud-ouest par les Bakossi (Bangem). 3. Les langues sœurs du Mbo’o La langue Mbo’o s’identifie parmi les langues bantou et les langues des Grass fiels. On peut citer les langues telles que : le Douala, le Abo, le Elong, le Bakossi, le Fé-efe, l’Ewodi comme langues sœurs du Mbo’o. Cette langue

d’Afrique Equatoriale Française. Les Doualas entrent en dissidence ; certains vont se mettre au service des Anglais pour guider leur progression. Les Allemands doivent distraire des troupes pour rétablir un semblant d’ordre dans la ville. Près de 180 traîtres sont pendus. que pour son progrès, l’heure de la justice était celle de la bataille. Douala est vite tombée, le 28 septembre 1914. Les Anglais y sont accueillis en libérateurs par le frère Rudolf Douala Manga, Richard et par la population

La dépravation des mœurs au Cameroun Dans la capitale économique camerounaise, Douala, le carrefour "J’ai raté ma vie" et "la Rue de la joie" ont un point commun : les centaines de bars jonchent les routes de gauche à droite. Ils sont ouverts 24 heures sur 24, et l’on y pratique le commerce clandestin du sexe. De mémoire de Camerounais, ces quartiers ont reçu leur nom de baptême à cause de ces nombreux bars qu’on y trouve et de la dépravation des mœurs. Notre correspondante au Cameroun A l’origine

des équipements aéronautiques pour bien fonctionner. Au fil des ans, le Cameroun s’est doté d’un vaste réseau aéroportuaire et d’un ensemble d’équipements concourant à la sécurité de la navigation aérienne. Les trois aéroports internationaux étant Douala, Yaoundé Nsimalen et Garoua. Le Cameroun a aussi douze aéroports à savoir, Bafoussam, Bamenda, Foumban- Nkoundja, Yaoundé Ville, Maroua Salak, Ngaoundéré, Batouri, Bertoua, Dschang, Kribi, Mamfe et Tiko. Ainsi que plus d’une cinquantaine d’aérodromes

migratoire s’accélère aussi dans nos communautés vu les trafics humains ou sexuels courants. Yaoundé et Douala : centres des clandestinités Estropiés, borgnes, sourds-muets, enfants de la rue immigrés longent les rues de Douala et Yaoundé. Un accent haoussa, mbororo les accompagne. Ceux de deux à douze ans font la mendicité sous le regard épiant des parents à qui ils versent la recette. Au port de Douala, capitale économique du Cameroun, camerounais et étrangers osent le pire tous les jours : émigrer

progression à partir de l’exercice 1985 – 1986, le trafic a connu des difficultés entrainant la baisse des recettes d’un exercice à l’autre, les causes principales avaient été : La contre performance La crise glissée de 1973 et la création de l’axe lourd Douala – Yaoundé Les gels de subdivision de l’Etat en faveur de la REGIFERCAM. La mise en concession de l’activité ferroviaire a été un large processus, car le décret n°94/125 du 14/07/1994 admettant la Régifercam à la procédure de privatisation

d'environ 750.000 Km. La carte définitive du Cameroun fut dressée par le géographe Max Moisel en 1913. L'administration et l'exploitation du Cameroun pendant la période allemande Le gouverneur était à la tête du Cameroun. Il résidait d'abord à Douala puis à Buéa et enfin à Yaoundé à partir de 1909. Il était aidé par les chefs de circonscription, les résidents et les chefs locaux. Ce territoire était peuplé avant l'ère coloniale par des peuples Peuls et Haoussas. À la fin du XIXe siècle, l'Empire

Léonora Miano est née en 1973 à Douala au Cameroun et réside en France depuis 1991. Enfant, elle rêvait en regardant des artistes comme Cyd Charisse dans les comédies musicales dont raffolait son père, d'arpenter elle aussi les scènes de music-hall. L'écriture, dit-elle, est simplement une chose qui lui est arrivée sans qu'elle puisse l'empêcher. Pour Miano, on écrit en raison d'une certaine tournure d'esprit et parce qu'on y est poussé.C'est avec L'intérieur de la nuit (2005), premier texte d'un

l’amour (1999) et Branle-bas en noir et blanc (2000), d’une trilogie restée inachevée. Il est hospitalisé à Yaoundé le 1er octobre 2001 pour une insuffisance hépatique et rénale aiguë qui reste sans soin faute de dialyse. Transporté à l’hôpital de Douala le 6 octobre, il y meurt le 7 octobre 2001. Œuvres[modifier | modifier le code] Sans haine et sans amour, 1953. Ville cruelle, 1954 Le Pauvre Christ de Bomba, 1956. Mission terminée, 1957. Le Roi miraculé : chronique des Essazam, 1958. Main basse

chemin de fer camerounais date de 1906. Plusieurs administrations se sont succédé : 1/ L’administration Allemande (1906-1914) Elle construit la ligne nord (actuelle ligne ouest) de Bonabéri à Nkongsamba et une partie de la transcamerounais 1 (Douala- Eséka) soit un total de 333.6 km. 2/ L’administration Française (1922-1927) Elle continue les travaux à partir d’Eséka jusqu'à la gare de Yaoundé soit 135.4 km. 3/ L’administration Camerounaise (à partir de 1960) Elle hérite