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SITUATION

Mr B est un homme de 89 ans père de 3 enfants, grand-père 3 fois et arrière grand-père 1fois.
Il est diagnostiqué diabétique de type 2 depuis une semaine.

En effet depuis quelques temps, Mr B souffre de fatigue continuelle, boit beaucoup durant la journée ainsi que la nuit et urine très souvent.

De plus il y a une semaine, il tombe dans la rue victime d’un malaise. Des passants l’aide à se relever et préviennent son épouse. Celle-ci convoque les pompiers qui le transfert dans un service d’urgences. Mr B revient à domicile le lendemain sans aucun diagnostic. Ce jour là, le médecin traitant se rend à son domicile pour une visite mensuelle afin de renouveler leurs ordonnances. Mme B raconte au médecin ce qu’il s’est produit la veille et décrit les différents symptômes qu’elle a repérés. Le médecin comprend tout de suite qu’il s’agit d’un diabète de type 2. Il prescrit une glycémie à jeun pour le lendemain.

La prise de sang effectuée, le médecin reçoit l’après midi suivante les résultats par le laboratoire. Il apparaît que la glycémie à jeun de Mr B atteint 5,5g/l. Le médecin traitant prévient alors l’IDE libérale qu’elle doit passer le soir même pour débuter l’insulinothérapie.

Le soir même, l’IDE s’exécute et injecte l’insuline après un dextro incalculable par l’appareil de mesure (car trop élevé).
Le lendemain matin l’IDE réitère l’opération ainsi que le midi. La glycémie étant très élevée et le traitement encore inadapté, Mr B fait un malaise l’après midi après un repas riche. Les pompiers sont prévenus et arrivent rapidement au domicile du patient. Celui-ci est entré dans un coma hyper glycémique et présente une hypotension à 6/5 cmHg. Il est transféré à l’hôpital où il reste en observation jusqu‘au lendemain.

A ce jour, Mr B présente une glycémie contrôlée par 16 unités d’insuline lente le matin (LANTUS). Sa tension est à 13/8.

L’IDE continue de passer 2 fois par jour pour