Cas palm
Jusqu’en 2003 les domaines d’activités stratégiques sur lesquels Palm était présent étaient les PDA (les assistants personnels numériques qu’on peut assimiler aux ordinateurs de poche) et les logiciels. Du point de vue des critères internes (technologies, compétences, structures de coûts) tout comme du point de vue des critères externes (clientèle, marché pertinent, distribution, concurrence), on peut argumenter sur le fait que les deux activités étaient distinctes même si il y des ressemblances.
Si l’on analyse les différentes forces concurrentielles « des PDA » on distingue : - Le pouvoir de négociation des acheteurs représente un facteur déterminant. Palm en a d’ailleurs déjà fait l’expérience avec son Centro. - Suivent avec la même importance l’intensité concurrentielle et la menace des produits de substitution. Apple et Microsoft sont des concurrents féroces et puissants (Apple crée le Newton lorsque Palm crée le Zoomer par exemple). - On peut penser que les fournisseurs eux-aussi ont un fort pouvoir de négociation. - Enfin du coté des nouveaux entrants et des pouvoirs publiques, la menace est quasi-inexistante : les entreprises déjà en place sont les seules présentes et capables de mettre de fortes barrières à l’entrée notamment grâce à leur savoir-faire et au capital qu’il est nécessaire d’avoir pour entrer dans ce marché.
Pour l’analyse des différentes forces concurrentielles des « logiciels » on a :
- Le pouvoir de négociation des acheteurs est la force la plus importante. En effet le logiciel doit être vendu, comme le cite le texte, aux fabricants concurrents comme Handspring ou IBM. C’est donc eux, les