Complexe d'oedipe
Non seulement en affirmant que « L’homme n’est pas maitre en sa demeure » que Freud avait vexé l’humanité. Mais le scandale de la sexualité infantile dont Freud introduira dans son œuvre « Trois essais sur la théorie sexuelle » publiée en 1905, fut un qui réside toujours comme un débat immuable des ‘‘savants’’ et ceux moins savants. Freud révèle ainsi l’universalité du sexuel dans la vie, tout en définissant la libido comme l'énergie sexuelle aux fondements de la dynamique psychique qui tend à se projeter sur un objet extérieur. Il continu en insistant sur la présence du sexuel dans la vie de l’enfant, qui va se tourner d’abords vers ceux qui s’occupe de lui. Les rapports, note Freud « ne sont nullement dépourvus d’éléments sexuels ». L’enfant prend donc ses parents comme des objets de désirs.
Dans une des lettres adressées a Wilhelm Fliess (entre 1887 -1902) qui figurent dans l'œuvre "La Naissance de la Psychanalyse" parut en 1956, on s’attarde sur une proéminente datée le 21-9-97 dans laquelle Sigmund Freud affirme ne plus croire a sa neurotica (ce terme ne figure qu'une seule fois dans cette même lettre, pour parler de la théorie de séduction dont Freud dénonce). Selon cette théorie de séduction, l'étiologie des névroses présentent chez l'adulte dépendent de trois facteurs; des actes pervers commis envers l'enfant qu’était l’adulte, plus souvent que non par l'un des parents - le refoulement de ces actes - la réapparition de ces actes sous forme symbolique ou somatique.
Au cours de ses découvertes, Freud trouvera plusieurs motifs qui le mènent a ne plus y croire a cette théorie, dont l'un figure dans cette lettre comme suivant:"[…] En troisième lieu, la conviction qu'il n'existe dans l'inconscient aucun 'indices de réalité' de telle sorte qu'il est impossible de distinguer l'une de l'autre la vérité et la fiction investie d'affect. C'est pourquoi une solution reste possible, elle est fournie par le fait que le fantasme sexuel se joue toujours