Confluence architecture
Patrimoine
Une identité à préserver
L'activités industrielles du port fluvial et du marché d’intérêt national ont doté La Confluence d’un patrimoine bâti spécifique. Ce patrimoine est également marqué de deux prisons. Le quartier a pris soin de préserver ses racines. En 2001, l’aménagement de la promenade de Saône révèle sa magie. Le port Rambaud renaît sous les yeux des visiteurs. Il n’a pas renié son patrimoine composé d’entrepôts et de grues. L’investissement de la Sucrière par la Biennale d’art contemporain en 2003 le dote même d’un nouveau point d’attraction. L’ancien Magasin général des sucres, réhabilité en 2003 et 2010, se laisse découvrir.
L’évolution du quartier s’est inscrite dans la richesse de son histoire. La mémoire identitaire du quartier passe par la conservation de certains bâtiments: la halle aux fleurs, la halle Girard, la halle au caoutchouc, le bâtiment-porche… Près de 30 % des anciennes halles du marché-gare seront réhabilitées.
Les Halles
Architecturalement, elles étaient les plus intéressantes à conserver ; les halles au caoutchouc, Girard et la halle aux fleurs seront reconverties. La future nouvelle Maison de la danse s’y installera en partie. Des halles plus modernes serons également installé à l’image de la halle C6, qui accueillera un groupe scolaire de 15 classes, ou, plus vite, de la halle C5, que la SPLA réaménage pour y installer ses bureaux dès 2013. Le bâtiment-porche entre Sainte-Blandine et le futur quartier du Marché accueille déjà une salle de concert dédiée aux musiques actuelles et qui deviendra le lieu associatif du quartier.
L’héritage des prisons
Les prisons Saint-Joseph (1827-1831) et Saint-Paul (1860-1865) occupent une situation privilégiée. Elles ont été activent jusqu’en mai 2009. Après leur désaffectation, l’État a lancé un appel à idées, puis un appel d’offres, pour leur reconversion. Le projet qui à été retenu, « La Vie grande ouverte », joue sur l’ouverture, le lien et la