Corpus
Stendhal et Balzac ont fait leurs textes en se rattachant au mouvement réalisme et naturalisme.
I) ( Corpus inspiré du XIX° siècle. )
Dans l'extrait de Stendhal, il décrit Verrière comme il la voit, sûrement sans déformer les choses. Il la qualifie de « petite ville » (l.1), ce qui pourrait nous faire penser à quelque chose pour laquelle on accorde pas beaucoup de valeurs ; « les châtaigniers marquent les moindres sinuosités » (l.5), cette description montre un des défauts de cette ville. Dans l'extrait de Balzac, il décrit une petite province «dont la vue inspire une mélancolie » (l.2), ce qui fait penser que la ville est sombre et triste. Les auteurs montrent la vie dans ces provinces tel quelle est réellement, ils ne cherchent pas à l'embellir, cela relève donc du réalisme. De plus, il y a une certaine description scientifique et objective de la réalité humaine.
Ces auteurs, différents l'un de l'autre ont réalisé leur texte à deux dates différentes, mais il y a beaucoup de points communs entre ces textes.
II) ( Deux auteurs, deux textes, de nombreux points communs.)
Ces textes parlent tout deux d'une petite ville ou province probablement éloignée des grandes villes. En analysant ces textes, nous pouvons découvrir un thème commun, qui est la richesse et la valeur de ces endroits pas très connu. Ces deux textes relèvent de la réalité, on peut pas dire que c'est des lieux inventés ; la simplicité du style de vie des habitants forme une sorte de magie au texte ; mais surtout, malgré la morosité qui y règne, c'est deux provinces qui possèdent