Jour sans faim

357 mots 2 pages
"Jours sans faim" par Delphine de Vigan.
Voici notre point de vue: L'auteur a décidé d'écrire le livre d'un aspect extérieur en utilisant un narrateur omniscient qui raconte les évenements d'une manière naïve comme s'il les avait vécus. Cela nous permet d'avoir un point de vue extérieur et comme si on se trouvait dans l'histoire sur l'anorexie. Cela nous permet de mieux prendre conscience de cette maladie qui est l'anorexie. Par contre le fait que l'auteur ait choisi cette sorte de narrateur nous a empeché de vraiment être proche du personnage principal. Si il avait choisi un narrateur interne on aurait pu mieux comprendre ses sentiments.
L'histoire ne se déroule pas vraiment dans dans un ordre chronologique puisqu'il y a beaucoup de rétrospections notemment lorsqu'elle se remémore les évenements de son enfance. De notre point de vue, les changements entre les retours en arrière et le présent sont difficiles à percevoir car l'auteur n'a pas indiqué de points de repère pour se qu'on puisse se situer contexte spatio-temporel.
Le langage utilisé est plutôt raffiné et familié tel que "Connasse." "Grosse." "Comère.". Le narrateur utilise des mots qui ne font pas partie d'un langage soutenu. Mais ce n'est pas pour cela que le vocabulaire n'est pas varié. Cela nous permet donc de mieux comprendre l'histoire et le message que l'auteur veut faire passer. Dans l'histoire quelques figures de style sont employées telles que des comparaisons: "Les mots de son père comme des météorites.", "Elle a l'air d'un trombonne démantibulé, d'un ceintre de pressing, d'une antenne télé après une tempète.", "Corps décharné comme une insulte", "Sous sa chemise de nuit souffre un ventre rond comme un ballon de foot", "Dans sa robe de chambre en laine polaire bleu roi, elle à l'air d'un poupon en celluloïde", "Il lui parle d'égal à égal, comme à une complice de longue date."; des personifications: "L'ordinateur manifeste parfois quelques signes de faiblesse", "Le souvenir de l'ivresse est

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