"La pipe" Beaudelaire, commentaire
Dans ce poème, on peut comprendre que c 'est « La pipe » qui nous parle. Cette dernière nous parle d'elle-même et de son maitre qui est un auteur dont nous n'avons aucune information sur son identité.
Ce poème est un sonnet versifié en octosyllabe.
En quoi la pipe est-elle d'une très grande utilité pour l'auteur ?
Nous allons évoquer ce que l'objet nous révèle sur le poète, et ensuite, nous déterminerons le moyen utiliser pour remédier au mal du poète.
Pour commencer, nous allons définir les liens entre l'auteur et la pipe. Le poème commence par le pronom personnel « je », la pipe se présente d'elle-même. On a une reprise du titre dès le premier vers avec une assonance en [i], étant une sonorité aiguë. En effet, le rapport entre l'objet et l'auteur s'installe au premier vers. Elle se définie dans un rapport de possession puisque c'est « la » pipe et non « une » pipe. Celle-ci est unique pour lui. Sa place est privilégiée auprès de l'auteur, elle semble occuper sa vie.
Par contre, on ne connaît pas l'identité de l'auteur. On ne sait en aucun cas s'il s'agit de Beaudelaire ou non. L'article « un » est indéfinis contrairement à l'article « le ». L'objet est un élément unique pour lui, celle-ci nous parle de son auteur sans nous informer de son identité. Ensuite, nous allons exprimer le mal de cet auteur que nous informe la pipe. Tout d'abord, on peut voir que la pipe est représenté comme un être travaillant. On le voit très bien dans sa métaphore, « On voit, à contempler ma mine d'Abyssienne ou de Cafrine ». Les Abyssiennes et les Cafrines sont des peuples africains. Ces peuples sont noirs. Cette métaphore veut donc nous informer que la pipe est noir, elle est donc