Le survenant
La présentation, la description et les sentiments des personnages idéalisent la vie sédentaire. * Les sentiments, émotion des personnages idéalisent la vie sédentaire
« Quelque chose de grand et de nostalgique, quelque chose qu’il n’avait jamais ressenti auparavant remuait en lui » (p. 65)
« Quand il avait pris possession de la terre ancestrale, […] un sentiment de durée, de plénitude […] [comme] la force tranquille de l’arbre qui, à chaque heure, à chaque instant, enfonce ses racines plus avant dans le sol » (p.80) * La description des personnages idéalisent la vie sédentaire.
«, une main adroite à façonner de fins ouvrages, » et « une protection pour la femme qui y enfermera sa main. »(p. 60)
« de vrai belles pièces de femmes, fortes, les épaules carrées, […] donner un coup de main aux hommes quand l’ouvrage commande dans les champs. Et un enfant à faire baptiser presquement à tous les ans. » (p.28 * La présentation des personnages idéalisent la vie sédentaire. « Levée avec le jour, Angélina travaillait durement. […] Elle savait prendre naturellement l’ouvrage dans le droit sens.»
La description des lieux et de ses habitants idéalisent la vie sédentaire.
* La description du Chenal du Moine idéalise la vie sédentaire.
«Un perron de cinq marches étroites […] mais personne […] ne l’utilisait, sauf dans les grandes circonstances :» (p. 27)
«Au dehors, la Pèlerine, la cloche de Sainte-Anne de Sorel, s’évertuait à sonner : envoie une bordée de sons au Chenal du Moine, bute sur les labours gelés,» (p. 77) * La description des habitants, des cultivateurs idéalisent la vie sédentaire.
«À tout moment des femmes, emmitouflées jusqu’aux yeux et dont il était impossible de deviner l’âge […] Elles n’en finissaient plus de se débarrasser de leurs grands bas, » (p. 98)
« Est-il d’avance à l’ouvrage? […] Des journées il est pas à-main en rien. D’autres fois, quand il est d’équerre, le