le survenant
Thèse : Non, le bonheur ne réside pas dans le nomadisme
Argument principal 1
Le Survenant qui est une figure du nomadisme est dépendant des sédentaires.
Sous-argument 1.1 : Le Survenant est dépendant des Beauchemin pour ses besoins primaires.
Sous-argument 1.2 : Le Survenant dépend des Beauchemin pour faire de l’argent.
Sous-argument 1.3 : Le Survenant dépend des sédentaires pour combler son amour de l’alcool.
Argument principal 2
Le nomadisme attire plus le malheur que le bonheur
Sous-argument 2.1 : Le Survenant comble un manque par l’alcool.
Sous-argument 2.2 : Le Survenant coupe ses relations subitement.
Sous-argument 2.3 : La solitude est une résultante du nomadisme.
Étape 2 : Rédaction
Tout d’abord, le Survenant qui représente le nomadisme dans le roman, est dépendant des sédentaires. Car en premier lieu, il dépend des Beauchemin pour ses besoins primaires : « Si vous voulez me donner à coucher, à manger et un tant soit peu de tabac par-dessus le marché, je resterai. » (p.22). Le Survenant cherchant un endroit pour passer l’hiver dépend d’une famille sédentaire qui veut bien l’accueillir. Heureusement pour lui, les Beauchemin ont accepté de le loger contre ses services. Mais juste avant ce passage, un autre extrait relate le fait qu’il avait faim : « C’était un étranger de bonne taille, jeune d’âge, paqueton au dos, qui demandait à manger. » (p.19), le Survenant devait se demander s’il allait trouver de la nourriture, l’inquiétude devait le saisir, ce qui nous rapproche pas du bonheur tant souhaité. S’il avait eu de l’argent, la situation aurait pu être différente mais malheureusement pour lui, cela ne fût pas le cas. En deuxième lieu, le Survenant dépend des sédentaires pour faire de l’argent : « Je peux te prêter des pièges et Z’Yeux-ronds est un vrai chien à rats. L’eau va monter d’un moment à l’autre. À part d’être ben malchanceux, tu peux te ramasser une couple de cents belles peaux.