La bohème est une chanson écrite par Jacques Plante et interprété par Charles Aznavour en 1965. Elle décrit la jeunesse de l’auteur passé dans les hauteurs de Montmartre. On peut se demander comment Jacques Plante à réussit à assemblé son passé à la modernité. Dans un premier temps nous allons nous intéressés a la forme choisi de ce poème : une chanson. Puis dans une seconde partie nous allons revenir sur les souvenirs nostalgiques de celui-ci. Enfin nous allons parlé de la figure de la bohème.
Tout d’abord, on va commencer par observer la structure de ce poème. Il est écrit sous forme de chanson, comportant quatre couplets et quatre refrains. Les couplets sont réguliers en terme de taille et comportent des rimes embrassées. Celle-ci respecte bien les règles d’écriture. Cependant on retrouve l’absence de ponctuation qui représente la liberté d’écriture. Il y a une répétition du vers 13 au début et au milieux de chaque refrain. On voit aussi au vers 11 une allitération en « i ». le vers 69 à deux phrases avec la même structure. Le narrateur parle à la première personne du singulier, c’est donc un narrateur interne. L’auteur raconte son histoire tout au long de cette chanson.
Dans un seconds temps, on peut voir que les souvenirs de la jeunesse de l’auteur sont omniprésents . Dés les premiers vers il évoque « Montmartre » au vers 4 et indique sa tranche d’âge « moins de vingt ans » au vers 2. Le champs lexical du temps est aussi présent tout au long de la chanson, « d’un temps » au vers 1 « ce temps la » au vers 4 un peu plus loin au vers 19 quand il dit « qui attendions la gloire » et « vivions l’air du temps » vers 48 qui peut vouloir dire qu’il se laissait porter par le temps et ne se souciais pas des problèmes futur. Le vers 27 donne l’impression qu’ils sont dans la rue « groupés autour du poêle » et au vers 26 « nous récitions des vers »
Nous font pensés qu’ils essayaient d’oublier leur vie