Cellulairement
par Paul Verlaine
Almanach pour l'année passée
Ce groupe de quatre poèmes trace un parcours clair de la joie à la tristesse. D’abord, le poète retourne vers le passé, qui incarne « l’espoir immense », qui est doux et bienheureux. Mais progressivement, l’impossible retour à ce passé, autrement que par le biais de la mémoire, se fait trop douloureux, et il en arrive à qualifier ce passé « d’affreux ».