Bernard Werber

Journal de lecture Titre : Les Thanatonautes Auteur: Bernard Werber Date de parution : 1994 Genre : Roman 1°)Les trois mots qui représente le plus le livre Les trois mots qui pour moi représente le plus ce livre sont : {text:soft-page-break} -La mort, car c'est le thème autour duquel tourne le roman entier. Le titre du roman Les Thanatonautes vient du grec « Tanatos » qui est la divinité de la mort . L'idée de la mort est omniprésente dans tout le roman. Tout les personnages

a dit Stig DAGERMAN. Pourtant, c’est aussi le pire acte de lâcheté qui existe ; le suicidé, à la fois bourreau et victime, reconnaît en commettant un tel acte qu’il est « incapable d’assumer le cadeau de la vie » (d’après l’Empire des Anges de Bernard WERBER). En fin de compte, l’Homme est né sans le vouloir et il est probablement préférable qu’il parte sans le décider ; le début et la fin d’une vie ne sont pas des événements programmables.

monde , liser " Les Fourmis " de Bernard Werber. C'est un lvire philosophique ou l'auteur remet en question les humains a travers les yeux d'une fourmis, ce qui nous offrent un regard entierement subjectif. De plus, dans l'encyclopédie du savoir absolu et relatif , vous apprendrez pleins de choses interesseante , philosophique , problemes mathématique . ncyclopédie du savoir relatif et absolu (L'ESRA) ou Livre secret des fourmis est un livre écrit par Bernard Werber (et illustré par Guillaume Aretos)

Synthèse   Malgré le fait que l'argumentation direct va de but en blanc, son accès est assez réduit et sa lecture et compréhension sont conditionnées au niveau de connaissances du lecteur et sa lecture a besoin d'une certaine concentration. Bernard Werber, écrivain du 20eme siècle a dit "L'important n'est pas de convaincre, mais de donner à réfléchir. " Ainsi, le plus important est le point de vue que se forge lui même le lecteur, c'est parce que le lecteur a poussé lui même la réflexion, que

rien !... Pour trois fois rien on peut déjà acheter quelque chose !... Et pour pas cher ! » « Rien » est aussi la réponse à une devinette qui circule beaucoup depuis le début des années 2000 (notamment dans la série de livres sur les dieux de Bernard Werber) : « Qu'est ce qui est plus puissant que Dieu, plus méchant que le diable, les pauvres en ont, les riches en ont besoin, si on en mange, on meurt ? » À noter que la devinette ne fonctionne pas parfaitement en grammaire française, puisque

présente sous la forme d’une histoire que l’on lit sans vraiment réfléchir. A la fin, elle nous incitera forcément à se poser des questions et nous fera évoluer vers une réflexion personnelle qui peut-être, nous fera adhérer à la thèse de l’auteur. Bernard Werber le dit très explicitement dans Le père de nos pères : « L’important n’est pas de convaincre, mais de donner à réfléchir. » Son influence sur l’évolution de la société. La littérature argumentative est aussi utile car elle fait évoluer les

absolu, livre-testament d'Edmond Wells. Bernard Werber décrit ce premier tome de la manière suivante : « Les Fourmis. C'est le premier. Commencé à seize ans, écrit avec une discipline de quatre heures et demie tous les matins. Le livre est construit sur l'architecture de la cathédrale d'Amiens. Pour moi dans le premier il y avait tout en germe. Mais tout étant à peine évoqué, effleuré, sous-entendu, il fallait poursuivre1. » Bernard Werber aurait réécrit 18 fois son roman avant de l'envoyer

généralement national. Internet soulève aussi des questions sur le droit de la propriété intellectuelle (auteurs, marques, ...) ainsi que la publication (incitation à la haine raciale, diffamation, injures, …), au droit à l’image, etc. Comme le dit Bernard Werber : «  aujourd’hui la censure à changé de visage. Ce n’est plus le manque qui agit mais l’abondance. » La problématique d’internet aujourd’hui est cette liberté de visionnage notamment avec l’exemple de Facebook qui est un site au départ créé

réflexion donnera l’idée initiale. Le texte d’idées est donc bien plus complet dans les arguments qu’ils donnent. Mais cela fait que le texte d’idées n’est pas à la portée de tous et n’est pas forcément explicite pour le lecteur. Comme le dit Bernard Werber dans Le Père de nos pères : « L’important n’est pas de convaincre, mais de donner à réfléchir ».

quittèrent ravis de s'être mis d'accord, en se promettant de diversifier leur lecture pour étendre leur connaissance. De son côté, Charles était fier d'avoir permis à ses amis d'aller de l'avant et de se poser les bonnes questions, comme le disait Bernard Werber, « L'important n'est pas de convaincre, mais de donner à réfléchir. »