Catatonie

dominent pas le tableau clinique ; les hallucinations peuvent être reconnues comme pathologiques par le sujet lui-même. État hallucinatoire organique (non alcoolique) À l’exclusion de : hallucinose alcoolique (F10.5) schizophrénie (F20.–) F06.1 Catatonie organique Trouble caractérisé par une diminution (stupeur) ou une augmentation (agitation) de l’activité psychomotrice et par des symptômes catatoniques. Les deux pôles de la perturbation psychomotrice peuvent alterner. À l’exclusion de : schizophrénie

avec le malade à l’aide d’un code utilisant ces mouvements. Infarctus du ventre de la protubérance (respectant le SRAA situé dans le tegmentum protubérantiel) par occlusion du tronc basilaire Non-réactivité psychogène (conversion hystérique, catatonie psychotique, simulation) : l’examen neurologique, l’imagerie cérébrale et l’EEG sont normaux 44 EXAMEN NEUROLOGIQUE DU PATIENT DANS LE COMA 1-Observation du malade - Myoclonies : multifocales (encéphalopathie métabolique), rythmiques

ralentissement psychomoteur. Le corps est douloureux. Dans les états maniaques, il y a une hyperactivité motrice mais aussi un déni corporel. Dans la psychose comme la schizophrénie, on peut observer des phénomènes de dépersonnalisation, de catatonie, ou d’élaborations délirantes. Le corps n'est pas engagé dans la relation et il y a inadéquation entre l'affect et son expression corporelle. La somatognosie est la connaissance que l'on a de son corps et des relations entre ses différentes parties

affaiblissement psychique progressif caractérisé par une altération des fonctions intellectuelles, morales et affectives et par une perturbation des conduites sociales. Le sujet est turbulent, impulsif et présente des stéréotypies (c’est-à-dire catatonies, tics, tocs (troubles obsessionnels compulsifs)). Le dément peut, dans certaines phases, perdre sa lucidité et sa perception des interdits légaux, ce qui peut le conduire à commettre un crime étrange. La deuxième forme qualifiée démence sénile

définit entité des démences précoces :· Atteinte profonde de la vie affective et de la volonté · Évolution progressive vers un affaiblissement de la personnalité d’aspect déficitaire · Trois formes principales : hébéphrénie, catatonie, forme paranoïdeDélire paranoïde est très variable dans le temps et plupart du temps non systématisé et généraliséPsychologie américaine a décidé d’arrêter de parler de délire paranoïaque or énormes

l'hystérie ou à l'épilepsie. Les troubles de la pulsion du moi sont les troubles maniaco-dépressifs s'exprimant par la manie et la dépression. Enfin, les troubles de contact sont les troubles schizophréniques s'exprimant au travers la paranoïa ou la catatonie. La distinction entre les instances de l'inconscient que sont, d'une part, le ça et le surmoi et d'autre part le moi correspond par ailleurs à une distinction entre processus primaires et processus secondaires. Les processus primaires se caractèrisent

relations sociales, peut s'apparenter à un état dépressif et un repli sur soi, retrait social, état d'apathie, donne l'impression d'avoir perdu la raison, discours incompréhensibles. Les sujets sont passifs, avec un comportement infantile. ⇨ Catatonie : forme plus sévère, aujourd’hui rare (moments catatoniques) : caractérisée par une 1ère phase de dépression, suivant d’une phase d’excitation puis enfin le sujet plonge dans une stupeur catatonique c’est-à-dire que le sujet à une ralentissement

.................................................................................................... 87 Hébéphrénie.............................................................................................................................. 87 Catatonie................................................................................................................................... 87 Autres formes .................................................................................................

sentiments mis en jeu par les événements passés, et ce dans une expérience qu’on ne peut faire que pour soi-même, mais qui concerne chacun de nous. Ainsi le rêve, qui n'est pas l’endormissement du psychisme ni son effondrement interne vers un état de catatonie confinant à la vie végétative, mais haute vitalité psychique, manifeste avec force et profondeur le jeu du temps vécu et permet à l’homme d’être pleinement lui-même. Le rêve joue donc un rôle décisif pour accéder au temps vécu. Pour Bergson, qui

ou le jeune adulte. La personnalité du malade est dissociée du monde extérieur, sans contact avec la réalité. Dans certains cas ces troubles s’accompagnent de passivité, d’absence d’intérêt à l’égard du monde extérieur (repli autistique), de catatonie (syndrome déficitaire). Le malade reste figé dans la même attitude. Les neuroleptiques incisifs lèvent l’inhibition, le repli autistique. Parfois le malade est agité, délirant (syndrome productif). Dans la psychose maniaco-dépressive, l’émotivité