Inconscient

Parler d’une vie psychique inconsciente peut paraitre absurde car on ne peut prendre conscience d’un insconscient : justement si l’inconscient existe ce n’est pas par ma conscience que je vais le connaitre et l’appréhender. On ne peut pas vraiment dire que l’insconscient est une limite à l’autonomie, car par définition, nous n’avons pas conscience de l’inconscient donc cela ne devrait logiquement pas interférer dans nos choix et nos actes. Parler d’une vie psychique inconsciente peut paraître absurde

au chef pour freud, y a un psychique conscient et un psychique inconscient ; une représentation peut donc etre latente (inconsciente) et donc devenir consciente à tout moment. Si certaines représentations peuvent pas venir à la conscience (elles sont refouléés dans l insconscient) c est à cause d une force qui les y oppose, qui a pour nom résistance. 2 variétés d inconscient : les faits psychiques latents qui sont inconscients mais capable de parvenir à la conscience (faits préconscients) et les

concerne la vie mentale) qui pour des raisons diverses, ne peuvent être ni perçus, ni contrôlés par la conscience. L’inconscient s’exprime dans les rêves, les pulsions, les fantasmes : c’est un réel moteur d’énergie psychique créatrice. Les mécanismes inconscients contrôlent la plupart de nos comportements, nos choix et nos décisions. La conscience ne serait que la partie émergée de l’iceberg des processus cognitifs (= se sont les différents modes à travers lesquels un système traite l’information en y répondant

Selon Freud, la vie psychique se caractérise par trois lieux ou espaces (instances) différenciés par des mécanismes et fonctions propres. Il y a eu deux théories topiques : La première, à partir de 1895, définissait trois instances : inconscient – préconscient – conscient ; Puis, en 1920, la topique précédente est réduite à des qualités et non plus des lieux, puisque la pratique analytique et la clinique ont montré qu’il y a de l’inconscient dans chaque instance. La nouvelle topique définit les

symptômes sont provoqués dus aux évènements psychiques antérieurs. Les symptômes sont dus à des processus inconscient. P : 23 « Des cas de ce genre, que l’on appelle « double conscience », peuvent, à l’occasion de se présenter spontanément à l’observation. […] la conscience reste constamment liée à l’un des deux états, on nomme cet état : l’état psychique conscient, et l’on appelle inconscient celui qui est séparé. » Donc l’inconscient peut influencer la vie consciente. P : 24

ainsi expliquer le comportement humain. La théorie est simple : l’instance pensante humaine n’est pas entièrement consciente. Il existe une partie, qui influence la partie consciente, qui est inconsciente : nous avons des pensées que nous ne connaissons pas, dont nous n’avons pas conscience. Cet inconscient est notre partie « pulsionnelle » qui est limitée, calmée par notre instance consciente qui a absorbé toute une série de normes par l’éducation et la socialisation. Nous avons vu cela dans le

et chaque phénomène a une cause, il n’en reste pas moins que pour l’être humain un acte libre, donc sans cause, est impossible. En effet, nous ne pouvons savoir si lorsque l’on croit agir de manière totalement libre nous n’avons pas des motifs inconscients. Spinoza va plus loin en affirmant que nous ne maîtrisons pas nos sentiments et émotions. La colère, la passion sont des émotions capables de faire déborder la raison. Ils agissent comme des pulsions, plus ou moins contrôlables. Et contrairement

d’un psychisme inconscient dont les forces déterminent certains de nos actes à la fois inconscient et involontaires. Ainsi une action réalisée inconsciemment n’est pas une action véritable, engageant notre responsabilité. Dans ce cas, qui est responsable ? Nous aboutissons à une remise en cause de l’unité du sujet-agissant puisqu’une partie de nous-même échappe à notre volonté. L’intérêt de la psychanalyse fondée par Freud consiste à faire prendre conscience de nos désirs inconscients afin de les maîtriser

dépend de l’agent et ce qu’il fait en sachant ce qu’il fait. Il est alors l’auteur de son acte. Le problème devient plus complexe quand on a des raisons d’attribuer un acte a des intentions inconscientes. Si j’ébouillante quelqu’un « par accident », et si cet acte est en réalité l’expression d’un désir inconscient (s’il est ce que la psychanalyse appelle un acte manqué), puis-je me prévaloir de mon aveuglement pour m’exonérer de toute responsabilité ? Certes, ma responsabilité est atténuée du fait du

les maux de s’échapper sur la terre. Seule l’Espérance resta enfermée dans la boîte. Nombreux sont les mythes, comme celui de Pandore ou celui de la création avec Adam et Eve, qui illustrent un acte plus ou moins inconscient. En effet d’après Freud, tout homme est composé de cet inconscient, instance psychique, à laquelle il n’a pas accès, possédant un mode de fonctionnement et des caractéristiques propres, et de nature à nous faire agir. Quant à la liberté, elle s’entend comme un libre arbitre, elle