Consommateur a pris le pouvoir et fait la pluie et le beau temps sur les marques grace aux réseaux sociaux (blogues, reseaux sociaux, site comparateurs, forums)
Nous zappons en permanence, comparons tout et tout le temps, exigeons de payer toujours moins cher pour plus de services. Toujours sensible à un sourire, un attention, un mot gentil
Marketing individualisé – avec des prix différents pour chaque consommateur
Radinerie devient une vertu. Négocier tout (fisc, tél mob, carte bancaire…
Consommateur de plus en plus difficile à cerner.
Faire mieux avec moins. Exige les entreprises innove réellement
Il s’intéresse au développement durable lorsqu’il en a les moyens, mais opportuniste il s’en détourne pour préserver son pouvoir d’achat. Infidéle dès lors qu’il peut en tirer bénéfice.
Il recherche la valeur ajoutée et attend un retour sur inversitissement.
Si le ROI ne se traduit pas en économies, il doit a minima donner bonne consience : préserver la planète ou privilégier la production locale. Les marques doivent lui apporter des éléments sérieux mais toujours en suscitant le désir et le plaisir.
Insprirer confiance, offrir la qualité.
Demanche RSE
Lors de la crise – s’adapter aux consommateurs pauvres. Selon le sondage CSA Cofidis sur « Les Français et le pouvoir d’achat » (sept. 2012), un Franaçais sur deux déclare être à découvert au moins une fois par an, un sur cinq déclare l’être tous les mois. Confornté à la hausse de prix, lorsqu’ils ne peuvent pas puiser dans leur épargne, les consommateurs rognent sur les dépense. Dans l’ordre, sur les loisirs, l’habillement, l’équipement de la maison et l’alimentation. La figure de consommateur pauvre s’installe. Il reclame une réel valeur ajouté des prosuits et de véritables innovations. Il va exploirer des nouveaux canaux, apprendre à se restreindre en limitant les gaspillages et repenses sa relation aux marques.
Mondialisation est à prendre en considération. Consommation multiculturel
Ex. L’oreal