Anesthésiste

BERTRAND - IFCS I TENON 32 À partir d’un cas concret « leçon pour la sécurité des soins » Revue « risques et qualité » M.Sfez – anesthésiste réanimateur – responsable de formation GDR à l’école Centrale 26 mai 2015 Marie-josé BERTRAND - IFCS I TENON 33 La situation fictive décrite emprunte des éléments à plusieurs observations réelles Michel Sfez - anesthésiste réanimateur Publiée dans la revue « Risques et qualité » « Leçon pour la sécurité des soins » Septembre 2005; vol II, n°3 26 mai

R. 4311-12 L'infirmier ou l'infirmière, anesthésiste diplômé d'Etat, est seul habilité, à condition qu'un médecin anesthésiste-réanimateur puisse intervenir à tout moment, et après qu'un médecin anesthésiste-réanimateur a examiné le patient et établi le protocole, à appliquer les techniques suivantes : Anesthésie générale ; Anesthésie loco-régionale et réinjections dans le cas où un dispositif a été mis en place par un médecin anesthésiste-réanimateur ; Réanimation peropératoire.Il accomplit

Article R. 4311-12 L'infirmier ou l'infirmière, anesthésiste diplômé d'Etat, est seul habilité, à condition qu'un médecin anesthésiste-réanimateur puisse intervenir à tout moment, et après qu'un médecin anesthésiste-réanimateur a examiné le patient et établi le protocole, à appliquer les techniques suivantes : 1. Anesthésie générale ; 2. Anesthésie loco-régionale et réinjections dans le cas où un dispositif a été mis en place par un médecin anesthésiste-réanimateur ; 3. Réanimation peropératoire.Il

C’est la spécialité qui est exercée le plus souvent à la clinique Rémusat par différent praticiens. En voici quelques un : Dr ALLOUCHE, Dr CHETBOUN, Dr BECTARTE, Dr BICHET, Dr DURANTHON, Dr FRANK, Dr MALADRY, Dr ROUGEREAU. Il y a aussi : * 4 anesthésistes qui sont Dr STYM-POPPER, Dr KHRIMIAN, Dr MARZE et Dr CAZENAVE. * 2 kinésithérapeutes qui sont Dr CIARDI et Dr ABI KHALIL * 2 cardiologues Dr MENSOUS et Dr IGNAT. * une surveillante de soin Mme LEBLANC qui dirige une équipe composée

pendant l’opération. A l’arrivée du patient dans le service, Mr T est accueillit par l’équipe soignante (une infirmière de bloc opératoire et une infirmière anesthésiste). L’infirmière de bloc opératoire vérifie l’identité du patient, la nature de l’intervention, si celui-ci porte des prothèses et si le dossier est complet. L’infirmière anesthésiste quant à elle, vérifie si le patient prend un traitement particulier (anticoagulant, antibiotique…), si il est bien à jeun et si il a déjà subit une intervention

chirurgie vasculaire, centre du sommeil, gastroentérologie, stomatologie, cardiologie). D) Structure du bloc opératoire : Cadre supérieur du bloc : Mme Baryl Une trentaine de chirurgiens Six médecins anesthésistes Huit infirmières de bloc Cinq femmes à la stérilisation-lavage Quatre techniciennes de surface Quatre brancardiers Une dizaine d'infirmières en salle de réveil Cette clinique appartient (ainsi que sept autres cliniques) à la Compagnie

la prise en charge de cette douleur tant sur son rôle propre que sur son rôle sur prescription. C’est pourquoi j’ai choisi de traiter cette prise en charge de la douleur. Mon projet professionnel étant de me spécialiser en tant qu’infirmière anesthésiste, j’ai choisi de traiter un sujet où l’infirmière travaille en collaboration avec l’IADE 1 . En effet, ces dernières sont toutes deux présentes en salle de surveillance post-interventionnelle (SSPI) et ont chacune dans leur rôle la prise en charge

aura fait. L’infirmière paraphera à chaque administration. Les prescriptions des anesthésistes se font sur des feuilles de réanimations de même format, comportant les mêmes catégories, signées par les anesthésistes mais ne sont établis que sur 24h avec une notation de 2h en 2h. Elle comporte également d’autre renseignement tel que l’état de conscience, différentes constantes, diurèse sur 24h…Ainsi les anesthésistes viennent represcrire tous les jours les traitements aux différents patients jusqu’à

chirurgical. Les normes en vigueur en France obligent les endoscopistes à faire appel à des anesthésistes alors que les faits montrent que des médicaments de nouvelles générations à l’instar des patchs de fentanyl ne rendent plus indispensables la présence des anesthésistes et donc réduiraient le coût de ces interventions. De plus l’utilisation d’endoscopes de plus petite taille semble limiter le recours à un anesthésiste. Ainsi on a montré que l’endoscopie chirurgicale est une pratique en pleine expansion

en fit la démonstration publique en utilisant de l’éther diéthylique, un liquide qui fut longtemps utilisé comme anesthésique avant d’être remplacé dans de nombreux pays par d’autres substances moins dommageables. La Société canadienne des anesthésistes (anesthésiologistes) décrit l’anesthésie générale comme étant « un état d’inconscience, de perte de mémoire, de soulagement de la douleur et de relaxation musculaire réversible provoqué par des médicaments.» Cette pratique permet de réaliser un