Au chenal du moine

réaliste, est publiée en 1945. L’histoire déroule au Chenal du Moine, près Sorel. communauté fermée d’esprit incapableaccepter un étranger, traditionnelle et refuse nouveauté, le Survenant avenir et progrès. Une forte confrontation en résulte. Sujet divisé : le monde du Survenant entre en confrontation avec la majorité de la population du Chenal du Moine, les confrontations l’emportent sur l’amitié partagée et le Survenant quittera le Chenal du Moine. Plan du développement Thèse : Dans le Survenant

Beauchemin, Didace le cherche, mais il ne le voit pas. L’inquiétude lui venait d’abord sourde, vague, de longue main, […] lui donnant l’envie de décrocher le fusil et de se tirer à la jambe.»(p.30). 1.2 Le bonheur ressentis par les habitants de Chenal de Moine lorsque vient le moment de se réunir expliquer par une énumération. 1.2.1 «Des cris, des rires, de grands hélas! Des embrassades, des poignées de main, des vœux, des plaisanteries, […] il y en eut jusqu’à l’heure de la grand’messe.»(p.95). 1

vie sédentaire au Chenal du Moine est idéalisé par sa sécurité et sa stabilitéSous-argument 1.1 : Les habitants ont une terre qui appartient à leur famille de générations en génération Sous-argument 1.2 : Les habitants au Chenal du Moine ont beaucoup de nourriture à leur dispositionSous-argument 1.3 : Les habitants ont une sécurité sociale et stable grâce aux traditions sédentaires Argument principal 2Argument principal 2 : La façon dont les habitants présentent le Chenal du Moine idéalise la vie sédentaireSous-argument 2

principal 1 Le Survenant vit en toute liberté en étant nomade, c’est lui décide en tout temps ce qu’il veut faire. Sous-argument 1.1 : Il est libre de choisir où il veut aller pour être heureux Preuve 1.1 : «Un soir d’automne, au Chenal du Moine, comme les Beauchemin s’apprêtaient à souper, des coups à la porte les firent redresser. C’était un étranger de bonne taille, jeune d’âge, paqueton au dos, qui demandait à manger.» (p.19) Sous-argument 1.2 Il est indépendant, il n’y a rien

dans le nomadisme pour les habitants du Chenal du Moine. Sous argument 1.1 Pour les habitants, la possession d’une terre et leur travail sont source de fierté. Il retrouvait sa jeune force intacte : Didace, fils de Didace, vient de prendre possession de la terre, Il a trente ans. Un premier fils lui est né. Le règne des Beauchemin n’aura jamais de fin. » (p.114) Sous argument 1.2 Les liens d’attachement entre les habitants du Chenal le Moine leur procure un sentiment d’appartenance

 Il s'agit d'un homme mystérieux qui a beaucoup voyagé. Il s'installe dans un hameau québécois aux valeurs traditionnelles fortes (soit au Chenal du moine près de Sorel). Il est travaillant et habile de ses mains. Il est donc une ressource inestimable pour l'agriculteur chez lequel il travaille. Cependant, exprimant ses émotions et contant ses expériences, il est perçu par les habitants du hameau comme facteur de troubles et, en même temps, comme catalyseur de changement. Représentant l'inconnu

Étape 1 : Plan du développement Argument principal 1 Le mode de vie sédentaire au Chenal du Moine procure une vie confortable et sécuritaire pour les habitants de cette communauté. 1.1 Les habitants du Chenal ont un territoire qui les appartient et qui leur offre un logement. 1.1.1 ‘’Puis je voulais t’apprendre que mon père est prêt à passer la terre à mon nom. On doit rien dessus, tu sais. Et sans être des richards, on est en moyens. Celui qui me prendra pour femme sera pas tellement à plaindre

endroit une nouvelle langue ou encore de nouvelles façons de vivre. Il n’a pas besoin d’avoir de biens matériels puisqu’aucune attache ne le retient. Seul son paquetage lui est nécessaire. Argument principal 2 Pour les habitants du Chenal du Moine, le Survenant leur rappel la liberté dans le nomadisme. Didace se voit dans le Survenant, il se rappelle ses ancêtres. Angélina voit à travers les paroles du Survenant toute la beauté de la liberté. Tous les habitants viennent écouter

présager une belle carrière dans le monde des lettres. DE QUOI S'ACIT-IL ? L Le Survenant est un roman paysan (d'autres diront régionaliste) qui raconte l'arrivée fortuite d'un étranger, un soir d'automne, chez les Beauchemin, une famille du Chenal du Moine, non loin de Sorel. Il offre ses services d'homme engagé en échange de l'hospitalité, gîte et nourriture, et d'un « peu de tabac par-dessus le marché » (p. 10). Ce véritable Moïse, ce « grand-dieu-des-routes » arrive à point nommé pour le père

Survenant Peut-on affirmer que cet extrait du Survenant de G. Guêvremont illustre la fin de l’idéologie du terroir? 1. Selon le Survenant, la vie d’un habitant prive l’homme du monde. 1.1 Le personnage du Survenant critique les habitants de Chenal du Moine de se priver de la liberté en restant attaché à leur terre agricole. Preuve: «Non! vous aimez mieux piétonner toujours à la même place, pliés en deux sur vos terres de petite grandeur, plates et cordées comme des mouchoirs de poche.» ( L. 13