Discours indirect

toucher le lecteur par la pitié (principe même de la tragédie). Le discours indirect libre permet l’accès total aux réflexions du personnage. De ce fait, le lecteur perçoit plus facilement les sentiments de Valjean : il éprouve donc plus de pitié envers lui => pensées du personnage, pas de verbe introducteur, toutes la ponctuation

point. En effet ces ce qu’il raconte à la date du 19 juillet dans son journal personnel « Beaucoup de personnes à qui j’ai raconté cette aventure se sont moquées de moi. Je ne sais plus que penser. Le sage dit : Peut-être ? » En fessant un discours indirect libre le personnage principal veut nous démontrer son point de vue subjectif sur une réalité qui vit durant cette journée de juillet et qui lui fait penser qu’il est peut-être effectivement fou. Suite à cette pensée, le sentiment que tout cela

critique de la bourgeoisie. II. Critique de la bourgeoisie c. Des bourgeois égoïstes qui s’engraissent en affamant le peuple Si dans Germinal, Zola emploie beaucoup le discours indirect libre, il préfère ici le style direct qui permet de laisser les personnages se discréditer par eux-mêmes car leur discours révèle leur égoïsme. Dès sa première réplique, on voit que, madame Hennebeau, dans son intérieur luxueux et protecteur est totalement coupée des réalités et ne pense qu’à sa petite

mystère libertinage, « vieux libertin » →Intérieur = image de l'extérieur → hyperbole « laplus désolée de toutes celles qui garnissait la table » b) la médisance des pensionnaires → terme « radotages » → l8 jusqu'à l11 : passe de discours indirect libre à focalisation interne. → Pensionnaires = jugement moral « vieux libertin » → interprétation délabrement Goriot → Notion de maladie, soignée par « médecin malin » l7 → On parle aussi de drogues → Pensionnaires = Goriot coupable

donne Annie Ernaux du couple. 2) Le discours égalitaire « Il m’encourage, il souhaite que je réussisse au concours de prof » est le désir du mari pour sa femme, qu’elle devienne ce qu’elle souhaitait. On ressent une égalité entre les deux : chacun se forme pour se réaliser « discours d’égalité ». Cependant, on voit une certaine ironie : « que je me  »réalise » comme lui » suppose alors une supériorité du mari, il l’ « encourage », il n’y a alors plus de « discours d’égalité ». Cela suppose alors que

figure pas et suite à sa lecture de De l'Esprit de Helvétius, Voltaire se rend compte qu'il a oublié de traiter de la question de l'esclavage et il rajoute donc ce chapitre. Composition du texte : l.20 à 24 : rencontre avec l'esclave L.25 à 47 : discours du nègre L.48 à 53 : révolte de Candide contre Pangloss et contre l'optimisme PLAN : I°/- La construction du récit II°/- L'ironie III°/- Les objectifs de Voltaire I°/- La construction du récit A°)- Un simple constat 1)- Le constat du

sinon « l’Elysée » = palais présidentiel, lieu du plus haut pouvoir national - Impression d’oralité par l’absence de ponctuation=>de flot continu de paroles comme si le narrateur était de plus en plus excité par ce qu’il décrivait + reprise au discours indirect libre d’expressions orale « ceux qui baïonnette…on » « ceux qui volent des œufs » - Temps du récit : après le présent qui qualifie chacun de « ceux qui », le verbe ppal de la phrase « entraient » est à l’imparfait => description d’un moment long

13 « indignaient » « regrets » Dans le même temps, effets d'accumulation et de reprises qui renforcent l'idée qu'on perçoit l'accablement du point de vue du personnage lui-même : • Reprise de « souffrait » (on peut même y voir une amorce de discours indirect libre) • Déterminant « tout » : « toutes les délicatesses », « tous les luxes » = insistance sur l'envie, la tentation. • énumération : de la pauvreté / de la misère / de l'usure / de la laideur Le narrateur maintient la distance : • 1e phrase

aimé fit trembler le bras de Julien » tout comme celles de Tchen qui entend « quatre ou cinq klaxons », et voit le « tas de mousseline blanche ». Leurs pensées sont aussi livrées, au discours direct dans Le Rouge et le Noir : « Je ne le puis, se disait-il à lui-même ; physiquement, je ne le puis » ou au discours indirect libre dans La Condition humaine : « Frapperait-il au travers ? » Sujet 1 : Commentaire Le XX° siècle s’ouvre dans la tourmente : les conflits sont nombreux en Europe

naturaliste, la vie de ces « filles » qui composent le petit personnel du Bonheur. Le texte peut être considéré comme étant en focalisation omnisciente, ce qui permet de ressentir avec plus d’authenticité la situation dégradante vécue par Denise. Le discours indirect libre nous permet d’avoir accès à la conscience de Denise, à la réalité de ses pensées : « Que pouvait-elle faire sur les trottoirs, sans un sou, avec sa sauvagerie, et toujours inquiétée par … du magasin ? ». La présentation de Denise souligne